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De 1996 jusqu’en 2006, c'était une superstar. Après ces années de consécration et de gloire, l'artiste a raccroché et c’était le silence radio. Mais Lalie Louise Hanitriniala Andriamazava n'a jamais renoncé ni pris sa retraite musicale. Après une longue pause discographique, la chanteuse est dans un très bon état d'esprit. Elle a conservé cette voix légère et cristalline qui ravit inlassablement les ouïes et vit une renaissance artistique quasiment inespérée. Elle a accepté de raconter son passé, son parcours musical, ses soucis personnels et les raisons de son retour sur scène.

Dès 4 heures du matin, hier,on voyait une longue file d’attente devant le Palais des sports de Mahamasina. Environ, 10 000 personnes ont reçu une consultation gratuite dans le cadre du projet caravane médicale " Sarobidy ny aiko". D'après le directeur des services de santé et du ministère de la Santé publique, Razafimahatratra Rado, beaucoup se sont rués vers la consultation bucco-dentaire, oculaire, cardiaque et la santé des mères et enfants. Durant cette consultation, les bénéficiaires étaient satisfaits malgré une longue attente.

Une célébration en grande pompe. La marche solidaire des femmes s'est tenue, hier, dans le cadre de la célébration de la Journée du 8 mars. Des milliers de femmes, issues des quatre coins de la Grande île ont participé à cette caravane, conduite par la Première dame, Mialy Rajoelina. En partance du gymnase couvert d'Ankorondrano, les danses et battements des tambours des filles du " Bloco malagasy" ont ravi les passants intercalés par un footing. La manifestation a été suivie d'une séance de zumba au stade d'Alarobia. Outre les départements ministériels et institutions publiques, plusieurs organisations telles que les épouses des gendarmes, la Police nationale, la Police municipale, des partis politiques ont aussi participé à la caravane. La cérémonie officielle se tiendra ce jour au stade Barea, Mahamasina. Plus de 120 000 femmes y seront attendues. 

La une du 07 mars 2023

Publié le lundi, 06 mars 2023


Le kidnapping, il y a une semaine, de trois membres d’une famille de collecteurs de produits spécialement de riz à Morarano Chrome, a fait des vagues. Car quelques jours seulement après les faits, les Forces de l’ordre ont réagi avec poigne. La veille du week-end dernier, l’opération spéciale baptisée « Harato » ou filet était musclée que l’on a signalé l’élimination d’un coup de six suspects, dans ce court laps de temps. Parmi les quatre premières personnes que les Forces ont éliminées, il y avait un assistant parlementaire. « Depuis des lustres, le concerné serait plutôt connu pour sa brutalité et a gagné la triste réputation de se montrer  toujours excessif dans ses comportements envers les autres », a fait savoir une source d’information locale.
Toujours dans le cadre de « Harato », le bruit court que de plus en plus de voix s’élèvent, du moins du côté des familles endeuillées. La plupart d’entre elles ont haussé le ton et vivement protesté, d’abord, en avançant que leurs proches, c’est-à-dire ceux qui venaient d’être éliminés récemment, ne sont pas du tout des « dahalo », ni autres ravisseurs. Deuxièmement, ces familles  s’insurgent contre le fait que leurs proches ont été simplement exécutés, car ces derniers n’auraient aucune intention de prendre la fuite.
Mais le mécontentement des habitants d’ Ambohitrarivo s’amplifient, localité où les trois membres de la famille de collecteurs de produits ont été enlevés. Pas plus tard que samedi dernier, l’opération menée par les Forces aurait encore coûté la vie à un chef de famille et la disparition de son gendre, tous deux étant également soupçonnés d’être impliqués dans ce triple enlèvement. Les proches de ce chef de famille haussent le ton contre ce qu’ils considèrent comme du pur non-respect des droits humains et craignent même que la victime aurait été torturée avant sa mise à mort. « On dirait qu’ils les auraient poignardé dans différents endroits de son dos, et son corps comporte au moins trois plaies occasionnées par des balles des Forces », se lamente un membre de la famille du disparu. La dépouille du chef de famille a été récupérée par les siens à la morgue de cette localité. Quant à son gendre, personne ne sait plus exactement ce qu’il est devenu. « Nous n’avons pas pu retrouver ses traces. Et ignorons s’il est encore en vie ou non », poursuit cette source.
Tout cela suscite des questions qui demeurent toutefois sans réponse, du moins jusqu’à présent. Et pourtant, un commandant d’une unité de Gendarmerie locale avait envisagé de faire un point de presse autour de cette situation, hier. Toutefois, ce point de presse n’a pas eu finalement lieu. En résumé, il n’y aucun moyen pour tenter de glaner le moindre renseignement autour de cette opération dite « Harato », le commandement local des Forces n’étant pas très loquace sur ce point.
F.R.


Un évènement qui sort de l’ordinaire. Envie d’assister à un concert exceptionnel ? Si l’univers « street » et urbain vous branche, « Niggalize Vibes » est la scène idéale pour cela.  Après le succès des deux éditions précédentes, cet évènement musical donne un autre rendez-vous avec plus de programmes alléchants au menu, retraçant notamment toute l'histoire de la musique urbaine hip-hop, ragga, RnB et dancehall. Conçu par le Dj Diojay, en collaboration avec l’association Ekah Madagascar, Karoka Entertainment, Rap Gasy Fehezanteny et Bro label, il s’agit d’un spectacle exceptionnel animé par des artistes et auteurs de tous les classiques des générations 90 et 2000. « Niggalize Vibes III » aura lieu le 8 avril prochain à partir de 13h 30  au Karafi, Ankadimbahoaka.
Comme à l’accoutumée, cet événement s'annonce déjà d'ores-et-déjà lourd. Le spectacle verra la participation de rappeurs ainsi que des combinaisons improbables et inédites d’artistes de renom issus de la Grande île, à l'instar de KJ, Sax, Kwincy et Masnad. D’autres grosses pointures du rap local se rejoindront également à cette fête nostalgique. Hormis les animations avec les artistes invités, il y aura aussi une session d’écoute et d’interprétation des titres classiques du rap malagasy, en particulier des morceaux que les fans n’entendent que rarement dans les stations de radio locales.
Pour sa troisième édition, ce spectacle mettra également à l’honneur la gent féminine pour chauffer les platines, la piste et la scène. Le public aura ainsi l’opportunité de voir à l’œuvre Lady Djette, un show de Beatbox avec Morgane ainsi qu’un spectacle de danse animé par le groupe Undefined. Enfin, Dj Diojay clôturera le concert en envoyant derrière sa platine des titres de différents styles, allant du rap au ragga, en passant par le roots, la RnB ou encore le dancehall. Avis aux amateurs de « black music » mais surtout d’« old school ». Le ticket d’entrée est maintenu au prix de 7.000 ariary. Il y aura également une vente de T-shirts « Diska Jôkera » et d’albums rap à cette occasion.  
Si.R



Utilisée par cinq (5) millions d’agriculteurs en Afrique. La technique « Pfumvudza » permet d’améliorer la production agricole, tout en préservant l’environnement. « Cette technique d’agriculture écologique se base sur des conseils pratiques. Elle peut s’appliquer sur tout type d’agriculture, que ce soit pour la culture de maïs, la culture maraichère ou encore la riziculture. En suivant à la lettre la technique, 624 m2 de surface peut assurer la survie d’une famille composée de 6 membres tout au long de l’année », informe Mialy Rajoelina, Première dame et non moins présidente de l’association Fitia. En collaboration avec le ministère de l’Agriculture, ladite association caritative a dispensé une formation pour 43 femmes représentant les 23 Régions de Madagascar sur la technique agricole « Pfumvudza ». Ladite formation s’est déroulée au Centre d’appui et de formation professionnelle agricole (CAFPA), sis à Andranovaky-Mahitsy.
« La formation agricole constitue une priorité du développement afin d’arriver à une autosuffisance alimentaire, et ce, depuis le ménage. Les agriculteurs tiennent une place importante pour y arriver. Quant à vous, vous pouvez partager vos acquis aux femmes de votre Région respective, entre autres pour lutter contre l’insécurité alimentaire », déclare l’épouse du Président de la République. C’était hier à Mahitsy, lors de la remise des kits de démarrage aux femmes formatrices en agriculture écologique. Chaque kit, comprenant des semences de riz et de culture de contre-saison ainsi que des engrais organiques, un sac, un arrosoir et des fils, permettra aux femmes bénéficiaires de lancer leurs activités agricoles, contribuant à leur autonomisation.
Les œuvres féminines à l’honneur
Un programme chargé. La Première dame Mialy Rajoelina a, depuis le week-end dernier, participé ou visité diverses activités dans le cadre de la célébration de la Journée internationale des droits de la femme (JIF). La célébration de cette année se déroule sous le thème : « Education des filles, autonomisation des femmes, garantes du développement durable ». Antananarivo accueille les festivités y afférentes, notamment à travers de multiples activités avec la participation des femmes provenant des 23 Régions de l’île. Hier, la présidente de l’association Fitia a visité les stands des femmes artisanes au jardin d’Andohalo, où elles exposent leurs œuvres durant l’évènement « Vehiv’ara ». Ces œuvres se composent de divers produits de décoration, textile, mode et accessoires. A cette occasion, la Première dame a suggéré que ce jardin emblématique de la ville des mille se transforme en un lieu de rencontre des femmes qui travaillent et vivent de l’artisanat.
Après le jardin d’Andohalo, la délégation conduite par la Première dame s’est rendue au jardin d’Anosy, où s’est déroulé le concours culinaire avec la participation des « vehivavy miavotse » provenant des 23 Régions. Elle a remis les lots aux 3 gagnantes du concours, représentant respectivement les Régions de Sofia, Atsinanana et Analamanga. Outre le concours d’art culinaire, le jardin d’Anosy accueille également la vente-exposition d’art floral ainsi que de légumes concoctées par les femmes autonomes. Ceci dans le cadre de l’évènement « Tsiahin’Anosy », toujours à l’occasion de la célébration du 8 mars. Une occasion pour l’épouse du Président de la République d’encourager les échanges et la solidarité féminine…
Patricia Ramavonirina



Sauf changement, la ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, devrait effectuer une visite officielle à Madagascar vers la fin du mois d’avril prochain. Officiellement, la signature de plusieurs conventions entre l’Agence française de développement (AFD) et l’Etat malagasy, ainsi qu’une rencontre avec la communauté française à Madagascar seraient au programme de cette visite. Comme il faut s’y attendre, le sujet autour des îles Eparses sera au cœur des discussions avec le Président Andry Rajoelina toujours dans le cadre de cette visite. La seconde réunion de la Commission mixte franco – malagasy sur les îles Eparses, reportée à mainte reprises, pourrait y être évoquée. Pour rappel, la première réunion de ladite commission a eu lieu au palais d’Andafiavaratra  en novembre 2019. Depuis ce premier rendez – vous, la tension ne cesse de monter entre les deux parties. La France qui rechigne à restituer ou même à étudier l’éventualité d’une cogestion de ces îles, et Madagascar qui insiste sur le retour de ces îles en tant que propriété malagasy. Dernièrement, le Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs-enseignants (SECES) a clairement fait connaître sa position sur le sujet : pas question de cogestion ! Quoi qu’il en soit, les négociations risquent encore de connaître une prolongation.
Officieusement, d’autres sujets « délicats » liés à la politique seraient également au menu des échanges avec les autorités malagasy.
S.R.



L’association Cétamada Madagascar, présidée par Anjara Saloma, organise actuellement la troisième édition du Humpback Whale World Congress en République Dominicaine, sous le thème de « L’économie bleue pour un développement durable » en co-organisation avec l’Autorité Nationale des affaires maritimes de Saint Domingue (ANAMAR) ainsi que l’Ambassade de France en République Dominicaine. Cet évènement scientifique est né à Madagascar en 2015 sur l’île Sainte-Marie lors de la célébration du Festival des Baleines et a suscité l’intérêt de plus d’une centaine de scientifiques-chercheurs internationaux ; la seconde édition a été par la suite accueillie sur l’île de La Réunion en 2017. La première conférence de presse du HWWC 2023 s’est tenue le 1er mars 2023 à l’Université Autonome de Saint Domingue (UASD) où les organisateurs ont indiqué que le congrès est certifié par le programme de la Décennie des Nations Unies pour les Sciences Océaniques (UN Ocean Decade). François-Xavier Mayer de l’association Cétamada a déclaré pendant la conférence qu'il est essentiel d'avoir le plus de connaissances possible sur la baleine à bosse lorsqu'on parle de sa préservation sans oublier de mentionner son rôle clé dans la lutte contre le réchauffement climatique en réduisant la quantité de dioxyde de carbone dans l’atmosphère.

Activités économiques

Le but de ce congrès mondial est de fédérer tous les acteurs de la conservation et de la recherche scientifique afin de développer des stratégies de préservation des mammifères marins à l’échelle mondiale. L’occasion pour des scientifiques en provenance des quatre coins du monde de partager les résultats de leur recherche pour un renforcement de capacité, des échanges d’expertise. Diverses sessions orales et des ateliers seront au rendez-vous. Cétamada, qui signifie étymologiquement « Cétacés de Madagascar », est une association de droit malagasy à but non lucratif fondée en 2009, basée à Sainte-Marie qui œuvre dans la conservation des mammifères marins et de leur habitat à Madagascar et dans l’océan Indien. Elle a été mandatée par le ministère du Tourisme malagasy depuis 2013 pour encadrer toutes les activités d’observation des mammifères marins afin de garantir un écotourisme baleinier responsable et durable à Madagascar. L’association a pour principal objectif, la préservation des populations de mammifères marins et de leur habitat à Madagascar. Pour cela, elle travaille en collaboration avec des chercheurs, des étudiants, des ONG et des institutions, des opérateurs économiques, des autorités locales et nationales. « En impliquant les populations locales dans nos actions, nous nous engageons dans une démarche de développement durable. Tout en mettant en place des activités économiques autour des mammifères marins qui génèrent des revenus directs pour les communautés locales. », indique un membre de l’association Cétamada.
 

Hary Rakoto


Retour de vagues !

Publié le lundi, 06 mars 2023


Freddy revient. Censé être sorti dans le Canal de Mozambique, le cyclone Freddy reprend de vigueur et revient à la … charge. Il menace de nouveau les côtes sud-ouest et l’ouest de la Grande île. Lors d’un tsunami, on craint surtout le ressac, le retour de vagues.
En effet, de vents violents et de fortes pluies s’abattent du sud-ouest (Toliary) aux côtes ouest de Madagasikara jusqu’au flanc ouest des Hautes Terres centrales (Régions Bongolava et Itasy). Les responsables étatiques redoutent des dégâts aussi importants que ceux de la côte Est plutôt dans le sud-est. Mananjary, déjà victime de violentes et ravageuses intempéries à chaque coup, a dû de nouveau encaisser les fureurs de Freddy.
La Grande île, dans l’axe des trajectoires des cyclones et des tempêtes, s’expose presque tous les ans aux caprices de la météo. Il paraît que les impacts négatifs et destructeurs se durcissent d’année en année.
Compte tenu de ces ravages et destructions qui vont de mal en pis et que le pays doit subir impuissamment, force est de constater des conséquences inéluctables du changement climatique qui, lui aussi, va de gravité en gravité. Le cas des pays comme le nôtre préoccupe sinon doit inquiéter de jour en jour les dirigeants du monde entier.
Effectivement, la mobilisation internationale voire mondiale ayant pour objet la préservation  de l’environnement pour le développement durable du monde se déclenche au moins depuis trois décennies. Le « Sommet de Rio » en 1992 donna le coup d’envoi de la conscientisation et la sensibilisation des dirigeants sur les effets délétères du réchauffement de la Terre provoquant du changement climatique dont les impacts nuisibles se font déjà sentir. Les « Conférences des Parties » ou la « COP », version anglaise, se tenant tous les ans constitue l’issue de la mobilisation générale de Rio (Rio de Janeiro), Brésil. Signalons que la COP 21 de Paris se démarque particulièrement de l’éveil des responsabilités des pays dits « grands pollueurs » qui, au final, se plient à dédommager les pays victimes. Malheureusement, l’élan et la ferveur des pays riches industrialisés à accompagner financièrement les pays pauvres, malades des conséquences du changement climatique, comme Madagasikara, n’ont pas été suffisamment suivis d’actes concrets. En fait, des engagements ont été pris à Paris d’assister les « pays victimes » en consacrant une enveloppe assez consistante de 100 millions de dollars. Mais, finalement ce ne fut qu’un vœu pieu de Paris. La COP 27 à Charm el Cheikh (Egypte), en 2022, la dernière en date, n’a pas encore permis de voir la réalisation desdits engagements. Certains observateurs ont fait la remarque que des analystes à la charge des pays industrialisés jugent irréalisables les promesses de Paris (COP 21) en 2016.
En somme, les pauvres victimes au premier plan du réchauffement climat doivent assumer seuls leur développement. Au final, ils sont abandonnés à leurs propres comptes. Eh oui, des laissés-pour compte ! Et cela, jusqu’à quand !
En attendant, des COP vont se poursuivre sans donner des résultats probants. Des promesses et des engagements creux tels des coquilles vides ! Des paroles, rien que des paroles ! Quand les grands mentent, on fait comme si rien n’était. Quand les petits manquent à leurs engagements, c’est toute une histoire !                                                                                      

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Editorial

  • Ragôva, aux cribles !
    Le gouverneur de la Région Analanjirofo limogé ! Ceux des Régions Vatovavy et d’Itasy « licenciés ». A qui le prochain tour ? Et les observateurs de s’interroger, « le locataire d’Iavoloha serait-il en train de passer aux cribles les Ragôva ? » De notre côté, on se pose tout bas la question « avions-nous été entendus ? » A travers nos colonnes, on n’a de cesse de réclamer l’évaluation périodique de nos « vice-rois ». Non pas par méchanceté à leur égard mais dans une démarche d’esprit qui se soucie de la sauvegarde de nos fragiles ressources publiques qu’il faille gérer à bon escient et aussi pour le bon fonctionnement des affaires nationales. Lesquelles évaluations périodiques permettront d’apprécier les travaux effectués sinon de constater les manquements itératifs des dits Gouverneurs ainsi que leurs impacts dans les Régions concernées. Un Gouverneur qui fait bien son travail contribue évidemment à l’essor…

A bout portant

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