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Mouroirs ou gouffres de malheur !

Publié le mardi, 28 septembre 2021

Hécatombe sur les routes nationales. Les accidents graves se succèdent. Des vies humaines succombent. Des innocents, femmes etenfants ou toute une famille, périssent. Trop de morts d’homme. Trop, c’est trop ! 
Durant les dix dernières années, les accidents routiers causant des morts se multiplient en nombre et atteignent un niveau de gravité qui dépasse l’entendement humain. Les taxis-brousse et les camions décrochent le triste palmarès.
D’emblée, la part de responsabilité de chacun est légitimement à rétablir de façon urgente et prioritaire et ce afin de déterminer les voies et les moyens pour en sortir. Il faut à tout prix mettre un terme à la catastrophe. Les routes nationales, provinciales voire régionales réduites à des dimensions de mouroirs ou de gouffres de malheur sont inadmissibles et inconcevables. En se hasardant à décortiquer le pourtour de la responsabilité des accidents récurrents de circulation notamment ceux des taxis-brousse, on risque de patauger dans un enchevêtrement des rôleset d’actes où personne n’est responsable.
Selon les enquêtes menées par la Direction générale de la sécurité routière (DGSR), 10 % des accidents trouvent leur origine dans la défaillance technique. Ce qui revient à déduire que 90 % des accidents mortels proviennent des responsabilités d’horizons divers.
Dans tous les cas de figure, chacun tente de se dédouaner en ne voulant pas porter le chapeau de ces morts d’homme de trop. Tinoka Roberto, le ministre des Transports monte au créneau et dénonce la gabegie qui prévaut dans ce secteur stratégique. Le transport terrestre pour un pays en développement comme Madagasikara tient un rôle plus qu’incontournable.
La DGSR, les services publics rattachés (ATT, etc.), les Forces de l’ordre,les propriétaires, les coopératives nationales, les conducteurs et les usagers ont chacun leur part de responsabilité à assumer comme il se doit. Une chaine de responsabilités dans laquelle on ne s’y retrouve pas exactement.
La DGSR, la pièce maitresse réglementant la capacité de circulation de tous les véhicules à Madagasikara, occupe le rôle primordial dans la mise aux normes techniques de toutes les voitures circulant sur le territoire national. A l’heure actuelle, cet organisme mène un combat sans appel contre la corruption. Dieu seul le sait, comment se comporte la lutte !
L’ATT, principal responsable public, parvient-il à maitriser le secteur ? On attend de sa part une gestion drastique et rigoureuse des transports terrestres. Des réglementations sévères, auxquelles tous les professionnels de la route doivent obligatoirement se plier, s’imposent. La discipline et le contrôle sur route semblent faire défaut.
Les Forces de l’ordre ont une lutte particulière à affronter à savoir « la petite corruption » lors des contrôles de la Police routière. En fait, tout se résume à payer des « écolages » à chaque point de contrôle.
Les propriétaires et les coopératives portent sur les épaules de lourdes responsabilités. L’anarchie règne ! Le recrutement des chauffeurs doit correspondre à des critères stricts. La capacité à conduire des véhicules allemands tels les Sprinters ou les Crafters, des bolides aux courses folles, exige des compétences particulières sinon une maturité au volant.
Pour remédier à ce chaos résultant d’une gestion mal agencée d’un secteur crucial provoquant d’énormes dégâts humains et matériels, il ne suffit pas de hausser le ton mais de mettre sur les rails des mesures cohérentes et surtout de les appliquer scrupuleusement.
Ndrianaivo



La base du journalisme, c’est le recoupement. Une simple démarche que la plateforme Ilontsera n’a pas effectuée avant de rédiger un long communiqué sur l’élection des nouveaux membres du bureau de l’ordre des journalistes de Madagascar. A lire, ce fameux communiqué, ça saute aux yeux que les rédacteurs ainsi que les signataires n’ont entendu qu’un seul son de cloche, peut-être celui du bureau sortant. Un bureau sortant dont le mandat s’est achevé en 2017 mais qui n’a pas daigné depuis organiser ou déclencher les procédures du renouvellement des membres. Une « omission » qu’Ilontsera n’a touché mot depuis 4 ans mais c’est seulement aujourd’hui et au lendemain de la clôture du dépôt de candidature, en vue des élections dans un mois, que cette plateforme sort de sa torpeur. Dommage, qu’elle est passée loin, très loin, de la plaque en émettant des critiques non fondées mais heureusement explicables. A moins qu’Ilontsera ne veut entendre que ce qu’elle veut entendre.
Concernant la mise en place de la commission électorale et la commission de délivrance des cartes professionnelles, il suffit de se référer à la loi sur la communication médiatisée, 2020-006 du 1er septembre 2020.Contrairement aux dires d’Ilontsera, le ministère de la Communication n’a en aucun cas désigné les membres desdites commissions. Il s’est contenté d’appeler les entités, censées de les constituer, de désigner leurs représentants. Ces quatre entités sont en l’occurrence l’OJM  (deux représentants) en plus du président qui est membre d’office, le club des journalistes doyens (un représentant) le groupement des patrons de presse (deux représentants) et le ministère de la Communication (un représentant). Si les trois entités ont désigné les leurs, le bureau sortant de l’OJM a fait le mort et ce malgré les multiples appels lancés par les autres membres siégeant à la commission électorale et celle de délivrance des cartes professionnelles. Les absents ont toujours tort, dit-on.
A propos des « dernières modifications dans le mode électoral », Ilontsera se trompe de cible en pointant du doigt le ministère de la Communication, concernant notamment « l’obligation pour chaque candidat de disposer d’une liste de 93 conseillers et suppléants issus des Régions ». Sur ce point, c’est en effet le Sénat du président Rivo Rakotovao qui, au nom de la sacro-sainte décentralisation, a amendé l’article en question. Dans le projet de loi élaboré à l’issue des consultations régionales auprès des journalistes et à la première lecture des députés, l’ancienne composition du bureau de l’OJM est maintenue au niveau des Provinces. Les sénateurs ont usé leurs prérogatives en insistant à ce que d’un côté, chaque Région doit avoir ses représentants élus au sein du bureau de l’OJM et de l’autre, que ses membres sont votés sur une liste bloquée. Aucune objection de cet amendement par les députés à la seconde lecture d’où cette liste de 93 candidats. 
Dernier point soulevé par Ilontsera concerne la caution, qu’elle juge exagérée. Or, la commission électorale n’a fait que maintenir le montant exigé lors des dernières élections de l’OJM. Seule différence, auparavant c’était six vice-présidents contre vingt-trois actuellement et ainsi pour le nombre des conseillers titulaires et suppléants.

La rédaction


A l’heure actuelle, les parcs nationaux du pays, mais principalement Ankarafantsika et Menabe Antimena, sont toujours menacés par les exploitations illicites de maïs et les feux de brousse intensifs. L’enquête sur l’origine de ces crimes environnementaux a conclu que de grandes industries, présentes dans le pays, paieraient les migrants climatiques, des personnes impactées par la sécheresse dans le Sud et obligées de trouver une source de revenus ailleurs, pour produire du maïs, leur principale matière première. Jusqu’à maintenant, les autorités n’ont pas encore identifié ces entreprises. Seuls les exploitants pris en flagrant délit de défrichage ont été arrêtés. Toutefois, des noms d’entreprise ont déjà été pointés du doigt comme étant les responsables. La STAR figure parmi elles. A travers cette interview, les responsables au niveau de l’entreprise expliquent ainsi comment elle gère cette situation. Des contrats ont notamment été résiliés par manque de traçabilité, sauf qu’ils n’ont pas fourni plus de détails sur le sujet. 
La Vérité (+) : Est-ce-que la STAR s'approvisionne en maïs dans la Région du Sud de Madagascar ? Si oui, dans quelle Région précisément ?
La STAR (-) : « Dans le cadre de son implication permanente dans le tissu social et économique national, la STAR se fait un devoir de favoriser les circuits courts d’approvisionnement. C’est dans cette logique que 100% de nos besoins en maïs sont issus de l’agriculture malagasy. Afin de rappeler les enjeux, il est important de savoir que nos besoins annuels s’élèvent à 12 000 tonnes soit 2% de la production nationale. Dans les détails, la répartition géographique de nos approvisionnements en maïs s’établit comme suit : la Région de Vakinankaratra à 40%, celle d’Atsimo- Andrefana à 35%, 10% à Miandrivazo et 5% à Sofia. 
(+): Comment la STAR peut-elle assurer que le maïs qu'elle utilise ne provient pas des réserves naturelles comme Menabe Antimena ou Kirindy?
(-): En tant qu’entreprise citoyenne et responsable, la STAR est astreinte à une charte éthique stricte. Charte qu’elle se doit d’imposer à tous ses partenaires, fournisseurs comme clients. En ce qui concerne les fournisseurs de maïs, la STAR a développé un partenariat fort. Ceci se traduit par un cahier des charges incluant un important et incontournable volet environnemental. Ce dernier inclue une obligation de traçabilité. En aucun cas, le maïs transformé pour la production de bière ne doit provenir des zones protégées. Notre agent sur le terrain y veille au quotidien.
(+): Est-ce-que la STAR a déjà suspendu des contrats avec des fournisseurs parce qu'ils n'arrivaient pas à fournir des preuves sur la traçabilité de leurs produits ?
(-): Oui, bien entendu. Nos contrôleurs remontent tous les manquements éventuels aux obligations contractuelles qui sont immédiatement sanctionnés par une suspension ou une résiliation de contrat. Cela peut aller du non-respect du poids des sacs, du défaut de qualité, à une perte, même infime, de traçabilité. Une fois suspendu, même après avoir corrigé les erreurs, le fournisseur ne peut plus renouveler son contrat pour l’année en cours.
(+): Que répondez-vous aux rumeurs qui circulent comme quoi c'est la STAR qui est derrière les exploitations illicites de maïs dans les réserves naturelles ?
(-): Il nous a semblé important, au début de cette interview de rappeler quel était le poids de la consommation de maïs de la STAR par rapport à la production nationale annuelle. Moins de 2% !De ce fait, nous ne pouvons que déplorer le fait que nous servions de bouc émissaire pour expliquer une situation qui nous semble bien plus complexe que ce que l’on veut bien nous le faire croire. La STAR a toujours été et continue à être transparente sur ses activités et sur l’origine de ses produits. La position de la STAR quant à la protection de l’environnement a toujours été claire, officielle et parfaitement définie à travers ses nombreuses actions sur le sujet. Qui plus est, nous sommes en contact avec des institutions internationales et nationales pour accentuer la protection de ces zones et dupliquer la procédure de traçabilité mise en place par la STAR. Après, il faut s’interroger sur la destination des plus de 98% du reste de la production nationale. Le problème se trouve très certainement là, à vous d’enquêter !
Propos recueillis par Rova Randria


Le Premier ministre a conduit une réunion de l’Organisme mixte de conception(OMC) au niveau national, hier. La question de la résurgence de l’insécurité dans de nombreuses Régions du pays, notamment celle ayant trait aux attaques de taxis-brousse sur les routes nationales, a été au centre des discussions. La situation actuelle en matière d’insécurité est, en effet, alarmante. Au point donc que le Premier ministre a convoqué une réunion d’urgence de l’OMC comprenant entre autres les premiers responsables des départements ministériels de la Défense nationale, de l’Intérieur, de la Sécurité intérieure, de la Gendarmerie nationale, à Mahazoarivo. D’autres membres du Gouvernement, concernés par le domaine, ont également été appelés pour faire partie de cet organisme. Une réunion au cours de laquelle les mesures à prendre d’urgence pour restaurer la sécurité sur toute l’étendue de la Grande île ont été discutées. Chaque cas récent a, dans ce contexte, été scruté par les membres de l’OMC-Nat.
Le Premier ministre a particulièrement attiré l’attention sur les cas recensés dans le Centre-ouest jusque dans le Sud-ouest qui ont été fréquents ces dernières semaines. Il parle également des faits dans certaines grandes villes et les attaques contre des véhicules de transport en commun. Des cas qui se sont particulièrement multipliés après la crise sanitaire due à la pandémie de Covid-19. Devant cet état de fait, le Premier ministre a tenu à rassurer l’opinion. L’Etat va prendre ses responsabilités. Des mesures seront prises, et ce, en complément des efforts des Forces de l’ordre qui ont déjà porté leurs fruits.
Touchant également mot des nombreux accidents de la circulation ces derniers temps, le Premier ministre a expliqué l’importance des contrôles des véhicules en circulation. Plusieurs accidents de circulation mortels ont été recensés récemment dans la Grande île. En effet, en fin de semaine dernière, un accident sur la route nationale 7 avait fait 12 morts. Hier, le locataire de Mahazoarivo a tenu à mettre l’accent sur le rôle des Forces de l’ordre chargées des contrôles routiers sur les routes nationales, dans l’application des lois face à ces accidents. Par ailleurs, Christian Ntsay a sensibilisé les automobilistes à bien jauger la vitesse pour protéger la vie des concitoyens.


La rédaction


« Champion de la planification familiale dans les pays francophones africains », tel est désormais le titre auquel le Président Andry Rajoelina vient d’être nommé par le ministère de la Santé publique, en partenariat avec les partenaires techniques et financiers et le comité national de planification familiale. Ce fut au cours du lancement officiel de la table ronde sur l’engagement de haut niveau pour la planification familiale à Madagascar, hier.
 « Face à la croissance démographique exponentielle, plus particulièrement dans la Région du Sud de Madagascar, il est aujourd’hui plus qu’urgent de permettre aux femmes de choisir d’avoir un enfant, ce qui réduira considérablement le taux de mortalité maternelle ainsi que le nombre de grossesses précoces », a souligné le Chef de l’Etat. Il avait d’ailleurs souligné, au cours du colloque sur l’émergence du Grand Sud, que le nombre d’enfants par ménage représente un frein pour l’épanouissement de ces familles. D’où l’importance de la planification familiale qui s’avère comme une solution permettant de sauver la vie des femmes, des nouveaux- nés et des adolescentes tout en contribuant au développement socioéconomique du pays.
Pour rappel, la santé pour tous et à tout âge est l’intitulée du « Velirano » n° 5 du Président. Un engagement qui vise à assurer un service de santé de qualité pour tous, notamment à travers la mise en œuvre de la couverture sanitaire universelle et le renforcement de la planification familiale. La question de la maîtrise démographique constitue un élément- clé de la stratégie de développement du pays initié par le Président de la République.
Une prévalence contraceptive de 60% d’ici 2030
Cette nomination en tant que « champion de la planification familiale » incombe de nombreuses responsabilités au Chef de l’Etat. En effet, il sera le porte- flambeau des interventions en faveur de la planification familiale et contribuera à la mobilisation des ressources extérieures pour ce faire. Par ailleurs, les objectifs de Madagascar pour l’engagement « Family Planning 2030 », destiné à améliorer l’accès à la planification familiale et signé par le Président de la République à l’occasion de cette table ronde, ont été présentés officiellement. Le pays vise d’ici 2030 à augmenter la prévalence contraceptive moderne à 60%, à réduire les besoins de non satisfaits en planification familiale à 8% et à atteindre l’indice synthétique de fécondité à 3.
Le Président a d’ores et déjà annoncé la construction des premiers centres de réhabilitation nutritionnelle et médicale dans 5 Districts du Sud de Madagascar, à savoir Ambovombe, Amboasary- Sud, Ampanihy, Bekily et Beloha. Ces centres sont destinés à la prise en charge médicale dans le cadre de la lutte contre le Kere mais également de véritables lieux d’accompagnement et de sensibilisation sur les différentes questions liées à la famille telles que la nutrition, la violence conjugale et le planning familial, selon toujours les explications du numéro un du pays.
L’implantation de centres de planification familiale est aussi prévue dans toute l’île. Ces centres devront informer, accompagner et surtout fournir des soins contraceptifs gratuits. A ce sujet, le Président de souligner qu’«une planification familiale accessible à tous devrait accélérer la transition démographique permettant ainsi au pays d’accéder à l’émergence économique». Pour ce faire, il a appelé à la participation de toutes les parties prenantes.
La Rédaction



Dans le secteur commercial, nombreux sont ceux qui renouvellent leur offre pour mieux appréhender le marché. Dans ce contexte, la société Baolai n’est pas en reste. « Pour aider les ménages malagasy à faire face au rythme effréné du quotidien, nous proposons au public une large gamme d'articles électroménagers de première qualité et neufs dans tous nos show- rooms sis à Soarano, Analakely et Bazar be Toamasina », d’après un responsable.

Des articles comme les lasers TV jusqu’à 120 pouces, téléviseurs LED et Smart TV entre 32 et 85 pouces (tous garantis 1 an) sont disponibles. Sans oublier les climatiseurs, les fers à lisser (cheveux), les Smartphones, les réfrigérateurs, les cuisinières à gaz et électriques, les subwoofers et fours à micro-ondes, les amplificateurs, les machines à laver, les panneaux solaires mono et polychristalins,…

Les compléments d’informations sont à découvrir sur le site web et sur la page Facebook  de Baolai ou en téléphonant au 034 56 288 21 (heures de bureau). « Tous nos produits sont disponibles pour tous les types de budget et tous les goûts », dixit le responsable. Le mois d’octobre qui vient sera haut en couleurs avec la société Baolai et son nouvel arrivage.

   

Besarety règne en maître. La première journée du championnat de Madagascar de rugby féminin Top 5 a débuté, le week-end dernier, au stade Makis Andohotapenaka. Les deux équipes favorites de la compétition ont damné les pions d’entrée. A l’instar du SBC Besarety, Besa et ses camarades ont infligé une déculottée à la formation de FTVL Antsalovana en les battants à plate couture sur un score sans appel de 100-00 au tableau.

 

On peut dire que l’affaire suivante relève également de la cybercriminalité car tout a démarré sur les réseaux sociaux. Il s’agit de celle concernant le viol en réunion d’une jeune fille de 15 ans, de la Capitale, qui a conduit finalement cinq jeunes hommes âgés entre 16 et 17 ans en prison, du moins à titre provisoire à Antanimora. Les faits.

 

Face à la recrudescence des accidents de la circulation sur les routes nationales ces derniers jours, une délégation dirigée par le ministre des Transports et de la Météorologie, Tinoka Roberto Raharoarilala, a effectué une descente à Fianarantsoa. L'accident survenu à Anteza, dans la Commune de Fiadanana, District d'Ambohimahasoa, Région de Matsiatra-Ambony, a été le plus grave et le plus meurtrier. Le ministre des Transports, ayant représenté l'Etat, a présenté les condoléances aux familles des victimes et a souhaité un bon rétablissement aux blessés qui suivent encore des traitements dans les hôpitaux.

 

A première vue, ils sont mineurs et ne fréquentent plus depuis quelques temps les établissements scolaires. A preuve, on remarque que leur tablier leur sert de vêtement chaud. Ces enfants qui sont des sans-logis, errent dans quasiment toutes les rues de la Capitale et vivent sur les trottoirs. Leur principal souci étant la survie quotidienne plutôt que leur avenir qui s’avère incertain.

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Editorial

  • Menace permanente
    Un amateur du cruciverbisme risque une fois de tomber sur un énoncé « menace permanente » un mot de dix cases : « INSECURITE ». On ne cesse point d’insister sur la nécessité primordiale et cruciale d’évoquer les problèmes récurrents liés à l’insécurité qui règne dans le pays qui est justement une menace permanente pour les hommes et leurs biens.

A bout portant

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