Nos archives web


Les étudiants de l'université d'Antananarivo sont descendus dans la rue cette semaine afin de réclamer le paiement de leurs bourses d'études. Ils ont bloqué la circulation que ce soit à Ankatso ou à Ampefiloha en brûlant des pneus sur les chaussées pour attirer l'attention des responsables. Effectivement, le paiement des bourses a connu un retard considérable pour cette année universitaire  en raison des defaillances des procédures de la digitalisation. " Ce paiement des bourse n'est pas centré au niveau du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESUPRES), diverses entités sont impliqués et quand l'une d'entre nous échoue à sa mission, c'est tout le système qui est remis en question d'où la situation actuelle. Plus précisement, une fois la commission bourse auprès des universités respectives établit la liste complète des bénéficiaires,  elle l'achemine auprès du Mesupres pour un suivi et contrôle.  Et apres vérification de notre part, cette liste est exportée au Ministère du Développement Numérique de la Transformation Digitale des Postes et des Télécommunications (MNDPT) qui délivre la carte. Et c'est au rôle du Ministère de l'Economie et des Finances (MEF) de procéder au paiement.  Pour vous dire que la transaction se réalise maintenant en ligne et il n'y a plus de listes d’inscrits faussées. Malheureusement,  nombreux sont ceux qui n'apprécient pas cette démarche et se servent des étudiants pour montrer leur mécontentement" a expliqué une source auprès du Mesupres. Cest ainsi que mardi dernier, le MEF le MESUPRES et le MNDPT se sont réunis  au Siège du MEF à Antaninarenina afin de définir les attributions de chaque ministère dans ce processus des paiements numeriques afin d'assurer la fluidité du processus des paiements des bourses d’étudiants ainsi que des salaires, etc.. Il s'agit également d'une rencontre pour la mise en place du système de paiement digitalisé à travers la carte E-poketra par la Paositra Malagasy (PAOMA) et des cadres techniques et réglementaires se rapportant audit projet.
Il faut savoir que cela fait à peu pres 50 années que la question relative à la bourse d'études constitue une problèmatique récurrente à Madagascar. La digitalisation et suivi du parcours des étudiants  de l'enseignement supérieur a été donc la solution trouvée par l’Etat pour assainir la gestion financière au sein des universités et surtout garantir le paiement régulier et à temps des bourses. "Plus de 12 à 13 milliards d'Ariary sont perdus au cours des transactions effectuées dans le cadre du paiement des bourses d'études à Madagascar avec les étudiants fantômes. Les universités nous font parvenir le nombre des bénéficiaires et le gouvernement se charge d'envoyer un montant qui y correspond  et ainsi de suite. Une pratique qui a considérablement favorise les abus à tous les échelons des structures universitaires. Il nous est arrivé  par exemple d'envoyer les bourses pour les étudiants de Toamasina sans que les  concernés n'ont perçu  à temps leur part"  a ajouté la même source.
KR.



Santé, éducation, culture, formation en ressources humaines, protection de l’environnement, douanes, échanges d’information. Tels sont les secteurs concernés par les accords de collaboration entre l’Inde et Madagascar. Les signatures des conventions y afférentes ont été finalisées ou sont prévues prochainement. Parmi les projets déjà réalisés récemment figure le lancement d’une Chambre de commerce Inde-Madagascar, afin de renforcer davantage les liens commerciaux entre les 2 pays. Du côté de Tsaralalàna, un triangle vert « Mahatma Gandhi » a été mis en place dans la Capitale, à la fois pour développer l’espace vert en ville mais aussi pour symboliser la paix et la préservation de l’environnement.
Selon les informations recueillies, plus de 17500 personnes d’origine indienne, principalement du Gujarat, vivent et travaillent à Madagascar. « L'Inde considère Madagascar non seulement comme un partenaire bilatéral important, mais aussi comme un pôle vital dans la vision maritime collaborative de SAGAR « Security and Growth for all in the Region », s’est exprimé Abhay Kumar, ambassadeur de l’Inde dans le pays, lors d’une visite rendue au Premier ministre Christian Ntsay, mardi dernier au Palais d’Etat de Mahazoarivo. Une occasion pour les deux parties de passer en revue les progrès réalisés dans le cadre des relations bilatérales entre l’Inde et Madagascar.
P.R.
 




Moins d’un an après sa nomination au poste de directrice de la Communication et des Relations publiques, Soatiana Rajoelisoa a été remerciée selon la décision du Conseil des ministres qui s’est tenu avant – hier au palais d’Etat d’Iavoloha. Nommée au début du mois de juin 2021, l’ex – Dircom de la Présidence aura donc occupé son poste pendant 10 mois. Une durée beaucoup plus courte que son prédécesseur, Rinah Rakotomanga, nommée en 2019 jusqu’en 2021. D’après toujours la communication faite à l’issue du Conseil des ministres, Soatiana Rajoelisoa a été remplacée par Lova Hasinirina Ranoromaro, nouvelle directrice et non moins porte – parole du Président de la République. A nombreuses reprises, la nouvelle Dircom avait déjà revêtue, bien que de manière officieuse, le maillot de porte – parole du Chef de l’Etat. A preuve, ses nombreuses sorties médiatiques depuis l’année dernière et durant lesquelles elle a exprimé la position officielle du numéro un de l’Exécutif sur divers sujets brûlants de l’actualité nationale comme le remaniement du Gouvernement, le trafic de ressources minières, la concrétisation des « Velirano » du Président entre autres. Aujourd’hui, elle est donc confirmée à cette fonction tout en assurant la communication de la Présidence et cède sa place de directeur du cabinet civil à l’ex – ministre de l’Environnement et du Développement durable, Baomiavotse Vahinala Raharinirina.
A près d’un an et quelques mois avant l’échéance présidentielle de 2023, ce changement de tête au sein de la Direction communication et Relations publiques au sein de la Présidence apparait comme stratégique aux yeux de nombreux observateurs. En tout cas, force est de constater que l’Exécutif a procédé à une vague d’abrogations lors des Conseils des ministres ces dernières semaines.
Sandra R.

Soyons francs et honnêtes !

Publié le mercredi, 06 avril 2022

Soit vous êtes du côté du régime ! Soit vous êtes contre le régime ! Peut-être, il y a une troisième option, soit vous êtes de la majorité silencieuse ! En plein océan, un homme ne peut pas être à la fois sur deux barques, fut-ce un acrobate champion du monde de grand écart !
En prise à une grave crise interne, le régime Orange traverse ces temps-ci une zone de turbulence. Crise de croissance ! Conflit de générations ! En tout cas, des tensions en interne s’explosent et s’éclaboussent sur la place publique. On étale les linges sales au grand jour !
L’ARMADA, la puissante plateforme politique soutenant Rajoelina Andry, le candidat portant le dossard n° 13 en 2018 et l’accompagnant à l’avènement du régime Orange, vole en éclats. Le MAPAR, le MMM, le « Hiaraka Isika », le « Avana », le AVI, les cinq partis alliés pour la victoire du fondateur du TGV ne parviennent plus à garder intacte l’unité. Le MMM de Hajo Andrianainarivelo, la formation politique de poids disposant dans son escarcelle des élus parlementaires et communaux, claque la porte. Les autres restent à la « maison » et ont affiché leur fidélité à la « famille » du moins pour le moment. La raison exacte du clash demeure inconnue du grand public. Toutefois, le MMM confirme que sa formation ne quitte pas, pour le moment, la majorité présidentielle….
La zizanie atteint aussi le noyau central du pouvoir. Le « Tanora Gasy Vonona » (TGV) vit de même des moments difficiles en ces temps-ci. La friction qui ébranle l’intérieur de la plateforme soutenant le Président va beaucoup plus loin en profondeur. Certains ténors du parti créé par Rajoelina ne vont pas par quatre chemins pour crever publiquement l’abcès qui mine le TGV. Le député élu d’Ikongo, l’un des fidèles d’entre les fidèles lieutenants du Président, « règle ses comptes » comme le stipulent certains devant tout le monde. D’aucuns notent que les boulets rouges atteignent même le sommet du parti. Aux observateurs de s’interroger, le député Brunelle va-t-il quitter sa propre « famille politique » ou bien s’agit-il d’une simple démonstration de… farce ? Il était allé trop loin tout de même !
Tout juste une question de franchise et d’honnêteté !
Ndrianaivo


Tentaculaire. Après le Sénégal, les Comores, Mayotte, La Réunion, le Togo et bien sûr, Madagascar, le groupe Malagasy Axian a annoncé, hier, avoir finalisé l’acquisition de la filiale fusionnée de Millicom, MIC Tanzania Public Limited Company (réunissant Tigo et Zantel), en Tanzanie. Cette opération apporte à Axian Telecom près de 14 millions de clients mobiles et accélère le développement en Afrique du groupe, désormais présent sur huit marchés. En effet, l’aura d’Axian a dépassé depuis quelques années les frontières de Madagascar où il est né. Après un développement dans la région, le groupe est devenu africain avec plus de trois mille cinq cents salariés dans l’océan Indien et sur le continent. Le projet de développement ambitieux du consortium dirigé par AXIAN Telecom prévoit des investissements importants en Tanzanie au cours des cinq prochaines années afin de renforcer la couverture réseau et la qualité de service de la nouvelle entité MIC Tanzania Plc. « Avec l’acquisition de MIC Tanzania Plc, Axian Telecom ouvre un nouveau chapitre de son histoire en Tanzanie. Nous sommes très enthousiastes à l’idée de démarrer cette nouvelle aventure avec nos collègues tanzaniens et je suis convaincu qu’ensemble, nous mènerons à bien de grands projets qui contribueront à forger l’avenir digital de la Tanzanie. Nous tenons à remercier le Gouvernement de la République Unie de Tanzanie et le Gouvernement révolutionnaire de Zanzibar de nous avoir aidés à mener cette opération à son terme, et nous nous réjouissons de continuer à collaborer avec eux. », explique le président d’Axian Telecom, Hassanein Hiridjee.
Inclusion numérique et financière
À travers cette acquisition, Axian ambitionne d’accompagner la transformation numérique du pays par le déploiement de technologies et de services de pointe au service des entreprises et des particuliers tanzaniens. Le consortium a accès à des backbones et à des câbles sous-marins dans la région lui permettant de mettre en place des connexions plus solides pour relier la population tanzanienne au reste du monde tout en généralisant l’accès à des services mobiles abordables et développer l’inclusion numérique par des investissements significatifs dans les infrastructures de télécommunications. Le consortium prévoit d’offrir aux clients tanzaniens une meilleure couverture réseau et une amélioration de la qualité de service, en particulier pour le réseau 4G. De plus, l'inclusion financière est aussi dans la ligne de mire du groupe en s’appuyant sur le succès des services financiers mobiles de MIC Tanzania Plc pour poursuivre le développement de nouveaux services adaptés aux besoins des clients tanzaniens. Le consortium veillera également à ce que MIC Tanzania Plc bénéficie de l’expertise du Groupe en matière de développement de services financiers mobiles dans d’autres pays.  S'appuyant sur son expertise notamment dans le déploiement de technologies de pointe telles que les réseaux 5G et le développement réussi de services financiers mobiles, Axian Telecom ambitionne de dynamiser l'écosystème des télécommunications en Tanzanie en s'attachant à garantir une meilleure expérience aux clients. Pour rappel, Axian intervient dans les finances, les télécoms, l’énergie et l’immobilier. Depuis 2017, le groupe a rejoint d’autres fonds d’investissement dédiés à l’Afrique comme Emerging Capital Partners, Adenia et Partech Africa dans le but de participer à une croissance inclusive et pérenne du continent.
Hary Rakoto


Un père rockeur qui remue terre et ciel et prêt à soulever des montagnes pour sauver sa fille. Riri Rakotoarivony du groupe Kambana Metal donnera un concert au profit de sa fille Koloina qui est atteinte d’une maladie appelée « Nodule kystique du sein » depuis quatre mois. Un rendez-vous caritatif qui se tiendra le samedi 16 avril à La Bimbo d’Antanimenakely Ampitatafika à 20 heures. Le concert est organisé pour financer l’opération de Koloina. « En fait Koloina est ma belle-fille, c’est l’épouse de mon fils aîné. Elle a  besoin d’aide. Elle est atteinte du nodule kystique du sein et doit être opérée au plus vite sinon son cas pourrait dégénérer en cancer. Je sollicite tous ceux qui connaissent le groupe Kambana Metal de nous porter secours et de nous tendre la main. Venez au cabaret pour répondre à l’appel », implore Riri. En tant que chanteur, le cabaret reste le seul moyen pour ce père de collecter des fonds le plus rapidement. « Au total on doit réunir 2.400.000 ariary pour son opération. Nous envisageons de l’opérer le 19 avril trois jours après le cabaret. Actuellement, seuls quelques donateurs ont répondu à l’appel SOS. Je crois que dans les jours qui viennent ils seront nombreux à nous tendre la main », rajoute-t-il.
Prier
Evidemment, les sommes collectées seront reversées au profit de Koloina. Côté animation musicale, les fans pourront fredonner aux côtés de Riri et ses musiciens, le célèbre « Mba Rahoviana» et reprendre en cœur "Ianao no tiako". Ainsi, durant le concert, l’audience va baigner dans une ambiance solidaire aussi plaisante que caritative, puisque le chanteur promet de donner un grand show mémorable. En dehors du cabaret, Riri invite également le public et tous les fans du Kambana Metal à prendre part à la donation. Ceux qui désirent participer au téléthon, le contact de Riri, 0331431024, est disponible à toute heure.  A rappeler que Daddy le frère jumeau de Riri ne sera pas de la partie. Il portera seul le nom de Kambana Metal pour cette fois-ci. Il est probable que le chanteur n’est pas très populaire sur les réseaux, car depuis que le chanteur a lancé son appel à l’aide sur son profil Facebook, seuls quelques centaines d’internautes ont réagi en envoyant des messages de soutien au chanteur. Ainsi, il sollicite les internautes à jeter un œil sur son compte Riri Kambanametal.
Sitraka Rakotobe






Les éléments du poste de Police 3 d’Ankadimbahoaka ont procédé à l’arrestation d’une mère de famille pour trafic de bébés. Les faits sont survenus à Ankadimbahoaka, lundi dernier. D’ailleurs, ce fut encore avec le bébé d’à peine un mois et demi dans les bras que la Police a surpris la mère. Lors de l’enquête, l’on a appris que le nourrisson – qui n’est autre que sa progéniture – a été vendu à 16 millions d’ariary, et que la part de sa maman est de 1 million d’ariary. La Police fut préalablement informée sur les agissements de ces trafiquants à Ankadimbahoaka dont les activités sales semblent s’apparenter aux actes d’un réseau tout entier. Car Il faut dire aussi qu’à part la mère de famille revendeuse de nourrisson en cause, elle a également des complices dans la filière ossements humains à Ankadimbahoaka.  En réalité, quatre suspects furent ainsi arrêtés dont la mère du nourrisson.  Parallèlement à cette affaire, et cette fois-ci à Ivato, une autre femme fut arrêtée pour trafic de restes humains, enfin d’huile provenant d’organisme humain.
En continuant ses investigations, la Police découvre que les quatre suspects sont donc versés également dans le trafic d’ossements humains, et qu’ils disposent de quelques kilos. C’était dans ces circonstances qu’une autre femme suspecte fut arrêtée avec 76 pièces d’os, soit une dizaine de kilos. La marchandise aurait été acheminée depuis Vohipeno, samedi dernier. D’après une estimation, le kilo coûte 20 millions ariary.
Franck R.

Deux projets d’envergure appuyés par la Suisse. Il s’agit de l’Helvetas et de MEDER. Mis en œuvre dans la Commune de Marolinta, District de Beloha Androy, le dernier projet ambitionne d’installer un pipeline d’environ 8km pour desservir 15 Fokontany. Les travaux y afférents seront achevés dans 8 mois, selon les informations recueillies, sur un financement s’élevant à 750 000 euros, soit plus de 3,2 milliards d’ariary. Cette infrastructure bénéficiera à près de 10 000 personnes, d’après Chasper Sarotta, ambassadeur de la Suisse à Madagascar. 

De nouveau sur le tapis. Le maire de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), Naina Andriantsitohaina, semble ouvert à la régularisation des taxis-motos, à en croire sa réponse lors d’une récente intervention télévisée. Sa position personnelle publiée le 26 août 2021 était pourtant différent, avec un rejet catégorique d’une éventuelle régularisation de ces moyens de transport. Néanmoins, le Premier magistrat de la ville d’Antananarivo a, à l’époque, laissé le champ libre aux conseillers municipaux, lesquels ont refusé de régulariser les taxis-motos lors d’un vote effectué durant la session extraordinaire à la fin août 2021.

Tension entre la direction et les éboueurs de la Société municipale d’assainissement (SMA).Ce département est confronté à plusieurs difficultés, depuis le début de cette année. Tout d’abord, la panne des machines, ensuite l’impraticabilité de la décharge d’Andralanitra et actuellement la grève des employés.

Fil infos

  • Président Andry Rajoelina - Début d’une série d’inaugurations dans l’Anôsy
  • Actu-brèves
  • Course pour Tsimbazaza - Une vingtaine de députés renoncent à un nouveau mandat
  • ACTU-BREVES
  • Ministre des Affaires étrangères du Japon - En visite à Toamasina ce week-end
  • Législatives - L'Opposition peine à concrétiser ses grandes annonces
  • Mission du FMI à Madagascar - Deux appuis financiers importants sur la table des négociations
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Enseignement supérieur - L'université de Fenoarivo -Atsinanana officiellement inaugurée 

La Une

Recherche par date

« April 2024 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
Pub droite 1

Editorial

  • D’utilité publique
     Est reconnu « Service d’utilité publique » (SUP) par l’Etat tout organisme (ONG), une entité qui se met au service des intérêts basiques quotidiens des gens. Exemples : le service de la voirie, les caisses de la Trésorerie publique, les banques, les Postes et Télécommunications (téléphonie mobile), les transports en commun, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, etc. Leurs manquements répétés créent des désagréments notables voire fâcheux au bon déroulement du train-train de la vie des usagers, en particulier, de la population en général. L’Etat veille au bon fonctionnement des services reconnus d’utilité publique.Vingt inspecteurs et contrôleurs semenciers émargés au sein du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE) ont prêté serment près du Tribunal de première instance (TPI) à Anosy le week-end dernier. Issus des sept Régions dont Alaotra-Mangoro, Analanjirofo, Atsimo-Andrefana, Vakinankaratra, Boeny, SAVA et DIANA, les nouveaux sortants œuvreront tout droit à l’amélioration de la production des semences…

A bout portant

AutoDiff