Economie

Coopération - L’union européenne se veut confiante

Publié le mercredi, 29 décembre 2021
Bilan positif lors de la présentation des résultats du Programme indicatif national (PIN), financé par le 11ème Fonds européen de développement (FED), dont Grande île continue de bénéficier. Et Giovanni Di Girolamo, ambassadeur de l’Union européenne, de rassurer que « L’engagement de l’Union européenne à Madagascar reste fort ». Une façon pour ce responsable d’affirmer que la coopération entre la Grande île et l’institution qu’il représente est encore loin de voir ses limites se profiler à l’horizon. « Investir pour la population malgache, la prospérité et la paix » figure parmi les priorités de la coopération entre Madagascar et l’Union…
La crise continue fortement d’impacter l’économie. Incluant la capacité des contribuables à contribuer. C’est la première réflexion de Marie-Chantal Uwanyiligira, responsable des opérations de la Banque mondiale pour Madagascar, à l’occasion d’un évènement officiel organisé par la Direction générale des impôts au Carlton récemment. A travers ces quelques lignes, la responsable des opérations de la Banque mondiale a exposé un bref état des lieux de la situation de la pression fiscale dans le pays.
Selon l'Organisme Economic Development Board of Madagascar (EDBM), « 80 % des besoins en raphia dans le monde vient de Madagascar ». Avec l'émergence de la tendance ethnique valorisant le matériel naturel, les besoins en raphia dans le domaine de l'industrie textile et de la décoration intérieure ne cessent d'augmenter au fur et à mesure. Même si les chiffres concernant le marché ne sont pas encore détaillés pour le moment, cette hausse de la popularité des fibres végétales et ethniques est particulièrement palpable.
Il aura été l’un des piliers de la relance économique. L’homme qui se définissait comme étant un « médiateur de l’économie » a laissé tout le microcosme économique sans voix, en quittant la scène à la fin de cette année, et ayant laissé tout un héritage qui restera dans les annales. Grâce à l’entreprise qu’il a fondée, Michel Domenichini Ramiaramanana, à l’image de l’Agence Première Ligne était un homme d’action et a été toujours au front pour se battre en faveur du développement économique. Il avait organisé un certain nombre de foires et de salons à vocation économique. Les plus…
Anosibe ou Isotry, des marchés tristement célèbres pour leurs réputations de haut lieu du commerce de produits risqués pour la consommation, reviennent sur le devant de la scène. En effet, hier, des marchandises périmées et falsifiées ont été saisies par la Direction de la protection des consommateurs dans ces deux marchés. C’est dans le marché d’Anosibe qu’un fourgon transportant de nombreuses marchandises a été intercepté avec à son bord des produits périmés dont les dates ont été trafiquées. Avec la collaboration des Forces de l’ordre, l’équipe a surpris 62 sacs de lait en poudre avarié portant des dates de péremption…
Fort de son succès auprès des entrepreneurs, le projet Miarina by Fihariana est relancé avec une enveloppe de 40 milliards d’ariary destinée à financer les entreprises et sociétés de petite ou moyenne envergure légalement constituées. Pour être éligibles à ce soutien financier, les entreprises doivent justifier de plus de trois années d’existence et avec un chiffre d’affaire n’excédant pas les cinq milliards d’ariary. L’idée étant de booster au maximum la relance économique en poussant les PMI et PME.
Une source d’inspiration pour développer le secteur agricole malagasy. En onze années d’existence dans la Grande île, Sahanala, une entreprise sociale pesant près de 25 millions d’euros à l’heure actuelle, a sorti de terre six usines en tout. Chaque année, cette industrie atteint un taux de croissance de 14%. «Le secret de Sahanala demeure dans son modèle social. Tous les cultivateurs avec qui nous travaillons sont tous actionnaires de la société. La clé du succès aujourd’hui est le fait qu’elle appartient aux paysans. Ces derniers peuvent décider du programme dans lequel investir. Nous impliquons les cultivateurs dans chaque prise de…

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Editorial

  • D’utilité publique
     Est reconnu « Service d’utilité publique » (SUP) par l’Etat tout organisme (ONG), une entité qui se met au service des intérêts basiques quotidiens des gens. Exemples : le service de la voirie, les caisses de la Trésorerie publique, les banques, les Postes et Télécommunications (téléphonie mobile), les transports en commun, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, etc. Leurs manquements répétés créent des désagréments notables voire fâcheux au bon déroulement du train-train de la vie des usagers, en particulier, de la population en général. L’Etat veille au bon fonctionnement des services reconnus d’utilité publique.Vingt inspecteurs et contrôleurs semenciers émargés au sein du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE) ont prêté serment près du Tribunal de première instance (TPI) à Anosy le week-end dernier. Issus des sept Régions dont Alaotra-Mangoro, Analanjirofo, Atsimo-Andrefana, Vakinankaratra, Boeny, SAVA et DIANA, les nouveaux sortants œuvreront tout droit à l’amélioration de la production des semences…

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