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Les épreuves pour l’obtention du Certificat d'études primaires élémentaires (CEPE) pour les 525.111 candidats se sont déroulées sans incident majeur. D’ailleurs, les Forces de l’ordre ont joué un grand rôle dans la sécurisation des élèves, ainsi que celle des sujets d’examen. Pour la Circonscription scolaire d’Antananarivo ville, 150 agents de la Police nationale ont été mobilisés dans la journée d’hier. La ministre de l'Education nationale, Marie Michelle Sahondrarimalala, a procédé à l'ouverture des sujets au centre d'examen situé au CEG d’Ambohimiandra. Ce centre a accueilli 1.048 candidats dont neuf élèves de la prison centrale d'Antanimora et quatre élèves handicapés de l'école Cinq Fleurs. Face à une éventuelle instabilité et à la propagation de l'épidémie de Covid-19, des mesures ont déjà été prises par les autorités compétentes. Selon la ministre, la correction des feuilles de copie débutera le 24 juin prochain. La publication des résultats est prévue dans 10 jours au plus tard.
Un encouragement
Dans la journée d’hier, beaucoup des parents ont choisi de prendre un jour de congé pour pouvoir accompagner leurs progénitures durant cet examen. Pour Diariniaina, inscrite au CEG de Soavimasoandro, sa mère a été heureuse malgré le rythme que l’on a dû suivre durant les épreuves. « C’est mon premier enfant et je voudrais que cette journée soit unique et mémorable. J’ai préparé ses plats et desserts préférés pour l’occasion. Dans l’après-midi, j’ai décidé de rester devant le centre pour l’attendre et l’amener quelque part afin d’éliminer son stress », soutient la mère de famille.
Dans la Région d'Analamanga, le benjamin lors des épreuves est âgé de 6 ans tandis que l’aîné est de 53 ans. Une exception a été constatée dans la Circonscription scolaire (CISCO) de Vohémar puisque la benjamine est âgée de 4 ans seulement et candidate de l’école communautaire de Masindrano. L’aînée, quant à elle, est âgée de 24 ans et s’est présentée à l’EPP d’Andrafialava.
Anatra R.



Huit mois avec sursis. Une légère peine a été prononcée hier au Tribunal Anosy à l’endroit du conducteur accusé d’homicide volontaire envers Ratsimbazafy Hambinintsoa Kévin, connu sous le nom de Kev ou Kévin ayant succombé à la suite du coup de bélier d’un véhicule dans la soirée du 13 mars dernier. Si la première comparution devant le juge, prévue se dérouler le 3 mai dernier, a été ajournée en raison de l'indisponibilité du résultat de l'autopsie, le Tribunal n’a rendu le verdict que plus de trois mois après le drame. Notons que ce même conducteur a contesté toutes les accusations à son encontre. Pire encore, il a même rejeté la faute exclusive sur la victime. Il a nié en bloc le premier délit de fuite, et n'a présenté aucun remord par rapport au décès de Kévin. Toutefois, la Justice l’a placé en mandat de dépôt MD à Antanimora et ses demandes de liberté provisoire ont été toujours rejetées. Outrée par ce verdict, la famille de la victime souhaite actuellement faire appel.
Rappelons que les témoignages de sa femme Ny Anjara Rafalimanana, détaillant le déroulement de l’accident, accusaient le conducteur. Elle a avancé que dans la soirée du 13 mars dernier, après un petit « ride » du côté d'Imerintsiatosika, Ratsimbazafy Hambinintsoa Kévin, ce jeune homme de 27 ans et père d'une petite fille de 6 ans et d'un garçon de 3 ans, a succombé suite à ses blessures après être victime d'un grave accident de moto à Mahamasina. « Aux alentours de 19h 30, deux accidents sont survenus à Mahamasina et dont le responsable est un seul conducteur. Le premier s'est produit près de la pharmacie de Mahamasina où il a percuté la moto de l'un des amis de Kev qui était en train de dépanner un autre deux-roues. Certes, il est sorti de sa voiture, non par pour s'excuser mais juste pour leur lancer des insultes. En partant, il a encore failli percuter d'autres motos. Ainsi, les amis motards de Kev présents sur place l'ont poursuivi afin de lui demander de prendre ses responsabilités, mais en vain. Lorsqu'il a ralenti du côté de l'église FJKM de Mahamasina, les motards ont pensé qu'il allait s'arrêter, mais ce n'était pas le cas. Kevin a par la suite réussi à se mettre sur son côté gauche sans lui couper la route, mais juste pour lui dire de s'arrêter sur le bas-côté et de s'expliquer suite à son délit de fuite. Malheureusement, le chauffeur a percuté l'arrière de sa moto. Kev est tombé. A cet instant, le chauffard aurait pu enfin s'arrêter et voir dans quel état il était. Mais au contraire, il a poursuivi sa route et a écrasé la tête de Kevin par les roues avant et arrière de sa voiture. Il a été arrêté par les amis de Kev près du portail de la Gendarmerie après que sa route a été complètement bloquée, car apparemment il voulait encore s'enfuir », a raconté sa femme.
K.R.



Madagascar parmi les pays leaders dans le monde. Richard Lewis, directeur de programme Madagascar au sein de « Durell Wildlife Conservation », l’a annoncé hier à Ankorondrano. En fait, la Grande île a pu concrétiser l’utilisation des drones dans le reboisement. Une approche difficile mais réalisée avec succès dans le pays, à en croire ce responsable de ladite fondation britannique. « Madagascar figure parmi les premiers pays qui optent pour l’utilisation des drones dans le reboisement. Depuis novembre 2021, des essais techniques de plantation de mangroves via les drones ont pu se faire dans la Région de Boeny. Les résultats en sont probants, avec un taux de réussite de 65% », confirme Marie- Orléa Vina, ministre de l’Environnement et du Développement durable (MEDD). Cette phase technique s’est déroulée sur le site de Boanamary, choisi pour la restauration des mangroves.
Concrètement, les drones utilisés dans ce projet disposent de réservoirs pouvant larguer les graines, lesquelles servent à faire le reboisement. Le choix des graines tient compte des caractéristiques des sites à reboiser et des plantes adéquates au climat local, selon les explications des forestiers. « L’utilisation des drones dans le reboisement est la solution à promouvoir pour concrétiser le reverdissement de Madagascar, un défi lancé par le Président de la République », reconnait la ministre de tutelle.
Mise en œuvre en vue
Après le succès de la phase d’essai, le ministère de tutelle et les partenaires envisagent la mise en œuvre de l’utilisation des drones, non seulement pour le reboisement mais aussi pour la conservation de la biodiversité à Madagascar. Ceci en tenant compte des 3 axes stratégiques, entre autres le reboisement intensif incluant la restauration forestière et la lutte contre les feux. La lutte contre la corruption, le trafic des espèces ou encore la transition écologique seront également considérées. Les drones vont également aider à faire l’évaluation des activités entreprises ainsi qu’à la conservation de la faune, notamment dans les aires protégées. D’ailleurs, les drones peuvent servir dans la lutte contre le braconnage et dans la gestion des parcs nationaux, initiée par le regretté directeur de « Madagascar national parks ».
Le projet baptisé « les drones pour la conservation » a été lancé il y a 3 ans, suite à une discussion en Angleterre notamment sur le comptage des lémuriens à Madagascar. « Le comptage du « Bandro », un lémurien Sihanaka du lac Alaotra difficile à cerner, a été possible grâce aux drones. Depuis, nous avons poursuivi les recherches sur l’utilité des drones dans d’autres thématiques de conservation de la biodiversité », relate le directeur de programme Madagascar de Durell. Le lancement du projet a été marqué par la formation des techniciens, avant que la Covid -19 retarde les activités. Mais au final, les résultats sont positifs malgré la pandémie. Outre la mise en place d’une équipe de pilotes experts, 5 différents drones sont opérationnels, dont celui de long trajet pouvant traverser un parc national. Pour le long terme, les partenaires prévoient un renforcement de capacités en tenant compte des besoins de Madagascar.
Pour information, un atelier international sur le thème « les drones dans la conservation de la biodiversité » s’est tenu hier à Ankorondrano, avec la participation des experts nationaux et étrangers. Une occasion de faire le rapport de la semaine de simulation sur terrain à Alaotra Mangoro et de présenter les résultats des activités déjà entreprises.
Recueillis par Patricia Ramavonirina




Place à l’amusement. La célébration du 62ème anniversaire du retour de l’indépendance a démarré dimanche dernier avec le grand concert de louange au stade Barea. Lundi, avec l’ouverture du grand podium d’Anosy, le public a eu le privilège de faire la fête avec les artistes spécialisés dans la musique urbaine, entre autres Kim Jah, Agrad & Skaiz, Oblack. Les festivités se sont poursuivies hier avec la participation des groupes ou chanteurs jouant le  « Bà gasy » à savoir Rebika, Princio, Samoela,… Pour la suite, les Tananariviens auront l’embarras du choix parmi les événements programmés jusqu’à la fin du week-end.
Ce soir, à partir de 18 h sur la place d’Anosy, la fête continue avec au menu de la musique rock et des variétés malagasy. Le spectacle sera animé par le groupe Kiaka, Mage 4, les infatigables Iraimbilanja, la reine du coupe décalé Black Nadia,  Malm, Tinah, Chantal,… Pour jeudi, la scène laissera la place au rythme tropical et encore aux variétés malagasy. Ce sera au tour de Manaly, Melky, Lola, le crooner Njakatiana ainsi que le roi du « salegy » Jaojoby de chauffer l’ambiance avec leurs tubes indémodables. Pour vendredi, la journée s’annonce toujours chaude et jolie. D’autres artistes tels que Lego, Vaiavy Chila et le spécialiste du « kilalaky », à savoir Tsiliva monteront sur scène. S’ensuivra le fameux bal populaire enflammé par le groupe Tambour Gasy, le groupe Bakomanga et l’initiateur du « Mitapolaka be » connu sous le nom de Rossy. Et le plus attendu de tous sera le lancement des feux d’artifice. Comme à l’accoutumé, ces derniers seront visibles un peu partout dans le noyau urbain d’Antananarivo. Le site de lancement se fera comme toujours à Anosy et tout le monde sera invité à regarder le tout à partir de sa résidence. On pourra également se rendre dans de nos nombreux espaces publics offrant un ciel dégagé ou simplement se scotcher devant la télévision.
Urbi et orbi
Les périphéries de la Capitale ne sont pas en reste durant cette célébration. Ainsi, de nombreuses activités culturelles sont organisées au cours de cette semaine. Le Gouvernorat de la Région d’Analamanga propose des concerts gratuits tous les jours dès 17h à partir de ce jour. Dans le District d’Ambohidratrimo, Stéphanie et Big Mj seront les grandes stars de l’animation pour aujourd’hui. Quant à la Commune d’Andoharanofotsy, Elidiot et Smaven donneront un spectacle au public. Demain, Fenoarivo aura également sa part de fête avec le groupe Rebika et Arione Joy. Njakatiana et Smaven assureront l’ambiance festive dans la Commune d’Ambohimangakely et ses alentours. Le 24 juin, Sayda et Lôla feront danser Itaosy. Enfin, Lianah, Marion et  Malm vont mettre de l’ambiance dans la Commune de Sabotsy-Namehana. Dimanche, après le grand défilé militaire, le grand podium de la Fête nationale qui se tiendra au stade Barea de Mahamasina accueillera comme chaque année de nombreux artistes venus de tous les horizons, à savoir Tence Mena, Stéphanie, Rak Roots, Jerry Marcoss, Raboussa, Mijah, Onja,… Pour ceux qui seront dans l’impossibilité de se déplacer au centre-ville, la chaîne nationale TVM diffusera en direct les spectacles.
Sitraka Rakotobe


Un homme d’origine malagasy de 36 ans est condamné à 7 ans et 6 mois d’emprisonnement par le tribunal judiciaire de Nîmes, ce mardi 21 juin pour une violente agression sexuelle, le 7 août dernier à Bagnols. Entré en pleine nuit chez sa victime, celle-ci avait dû se défenestrer pour échapper à son agresseur.
Déjà condamné à 10 ans de prison pour viol par la cour d’assises de Haute-Vienne, en 2011, le prévenu que tout accuse, nie pourtant les faits. « Je n’y suis pour rien dans cette histoire, je ne connais pas cette dame, même si elle affirme me reconnaitre », soutient-il à la barre, vêtu d’un t-shirt gris. Le président s’étonne de ses dénégations. « Pourtant, elle vous a reconnu formellement et on retrouve votre empreinte génétique sur une paire de tongues ainsi que sur le rebord de la fenêtre par laquelle l’agresseur est entré ? », le questionne Jean-Michel Perez.
« Je me suis fait agresser à Bagnols, le jour-même, par des hommes en noir. Peut-être que c’est eux qui ont laissé mes affaires chez elle ? » suggère-t-il. Face à cette version peu crédible, le juge redouble de scepticisme. « Tout vous désigne : vous avez déjà été condamné pour viol, et l’alibi selon lequel vous étiez avec votre femme a été infirmé par les enquêteurs puisque celle-ci a tenté de vous joindre par téléphone toute la nuit », insiste le juge. Le récidiviste hausse les épaules. « Ah oui, c’est vrai, ça aussi, je n’étais pas avec ma femme ce soir-là… » admet-il.

« Il m’a arraché la culotte ! »
Appuyée sur un déambulateur, la victime reconnait son agresseur. « Au commissariat, je ne l’ai pas vraiment reconnu sur les photos, car il avait des cheveux, alors que dans mon souvenir, j’avais essayé de l’attraper par les cheveux, mais il n’en n’avait pas. Mais là je suis formelle », témoigne-t-elle courageusement. Ce soir-là, alors qu’elle dort dans sa chambre, volet fermé et fenêtre ouverte, elle entend un bruit et aperçoit soudainement une tête dépasser de sous son volet, vers trois heures du matin. « Il m’a sauté dessus. Le temps que je crie, il m’a mis des coups de poing, j’ai réussi à le pousser et à le faire tomber dans la chambre. Je l’ai attrapé par le biceps et lui ai dit de prendre tout ce qu’il voulait. Mais il m’a mordu le visage, rien que d’y penser j’ai encore mal. C’est là que j’ai compris qu’il fallait que je me batte jusqu’au bout, relate-t-elle. Je me suis alors jetée sur le lit pour attraper mon téléphone. Mais il m’a sauté dessus, frappée et il a commencé à m’étrangler. Je sentais son sexe dans mon dos et il m’a arraché la culotte. Au moment où j’ai senti que j’étouffais, j’ai prié en arabe. Il doit être musulman car il a alors relâché la pression et reculé. J’en ai profité pour sauter par la fenêtre. Il voulait me tuer, il ne voulait pas de témoin pour ne pas retourner en prison ».
Victime de fractures aux hanches et aux vertèbres et de bleus notamment sur les cuisses, elle passera trois semaines à l’hôpital. Placé en garde à vue, le suspect a reconnu le modèle de claquettes et une bague découverte sur les lieux ! Outre son alibi contesté et une marque au poignet à l’endroit où la victime dit l’avoir mordu, la présence de son ADN prouve « que sa présence sur les lieux est environ un milliard de fois supérieure à une autre hypothèse », selon les enquêteurs. « Quand on cache la vérité, on finit par s’enfermer dans ses mensonges. Et lorsque les enquêteurs démontrent le contraire, tout s’écroule ! C’est ce qui vous arrive ! » pointe Jean-Michel Perez.

« Une chance sur un milliard »

L’avocat de la victime rappelle les graves conséquences de cette agression sur sa cliente. « Ce qui lui est arrivé aurait pu arriver à n’importe qui, car elle dormait simplement chez elle, la fenêtre ouverte : elle a dû déménager dans un appartement au deuxième étage, elle est traumatisée, elle ne dort plus la nuit, elle attend qu’il fasse jour pour s’endormir. J’espère qu’elle pourra se reconstruire, rappelle Sandro Assorin. Et pendant ce temps-là, lui s’accroche à la chance sur un milliard que ce ne soit pas lui… ».
Laurence Aguilar plaide la relaxe au bénéfice de ce doute infinitésimal. « On dit qu’il ne fournit aucune explication, mais c’est faux : il explique avoir été agressé et s’être fait dérober ses claquettes et sa bague. Il n’est donc alors plus en possession des objets retrouvés sur les lieux, déclare l’avocate du prévenu. On dit aussi que sa femme ment. Mais elle n’est pas au domicile du couple, elle est chez ses parents, c’est pour cela qu’elle l’appelle alors qu’il regarde tranquillement un film sur Netflix avec un ami… ».
Le tribunal le condamne à 7 ans et 6 mois de prison ferme, ainsi qu’une peine de 3 ans avec sursis. L’agresseur récidiviste sera inscrit au fichier judiciaire des auteurs d’agression sexuelle.
Pierre Havez
(Objectif Gard)

Action Sport Atsimondrano dirigé par le député Andry Ratsivahiny a marqué de son empreinte la première édition d’Atsimondrano Champion’s League Habib group. Les phases éliminatoires zonales ont pu réunir des dizaines de miliers de personnes chaque weekend. De bons moments, rire, coup, coup bas, effort, obstacle, combat, victoire, défaite, déception, solidarité, joie ont été partagés chaque fin de semaine. Les deux finales des zones A et B.

En suspens. Si l’élection des membres au sein du Parlement des jeunes (PJ) a été déjà organisée dans la hâte et sans transparence, voilà que 7 mois après, aucune suite n’a été donnée. « Le Parlement national des jeunes n’a jamais été mis en place. Il y a seulement eu une élection des membres dans chaque Région de Madagascar.

525.111 élèves passeront ce jour les épreuves pour l'obtention du Certificat d'études primaires élémentaires (CEPE) et le concours d'entrée en classe de sixième. 107 d'entre eux présentent des handicaps dont 35 malvoyants et 57 malentendants. Ces candidats sont répartis dans 1.997 centres d'examen à travers l'île.

Le nombre de la population dépendante dépasse largement l’effectif de celle active. Cette situation démographique de Madagascar constitue un obstacle au développement du pays, selon les informations recueillies. En fait, un ménage malagasy compte 5 à 6 enfants à charge, si l’on tient compte de la moyenne nationale. En 2019, une femme en âge de procréer a en moyenne 4,03 enfants. Cet indice synthétique de fécondité (ISF) reste plus élevé chez les femmes non instruites, en milieu rural et dans certaines Régions de l’île, dont l’Atsimo- Atsinanana et l’Androy.

Retour à la vie !

Publié le lundi, 20 juin 2022

Le « Deep South » renaît de ses cendres et repart pour une deuxième vie ! Le Chef de l’Etat, Rajoelina Andry Nirina, donne le premier coup de pioche pour la réhabilitation de la RN13 ce vendredi 17 juin. Un coup de maître que le régime Orange voulait inscrire d’une pierre blanche. Ambovombe fut le théâtre d’une grande et solennelle cérémonie pour enfin marquer le coup d’envoi des travaux que les habitants du grand Sud attendaient depuis des lustres. Un rêve inespéré que l’on osait plus croire.

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Editorial

  • Foire de tous les espoirs
    La FEPA ferme ses portes. Le rideau est tombé sur la 16ème édition de la Foire de l’élevage et de la production animale. Un évènement de taille qui a suscité beaucoup d’intérêts et par conséquent a attiré une grande affluence surtout chez les jeunes en herbe en quête d’activités porteuses pour un lendemain enchanté. Sous l’égide du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE), la FEPA s’était tenue du 25 au 28 mars à Nanisana, dans la mythique enceinte dédiée à ce genre d’évènement. Selon les termes des organisateurs, la FEPA ambitionne d’éveiller les intérêts chez les jeunes sur l’importance des activités lucratives générées par l’élevage et la production animale en vue de la relance de l’économie du pays. A en croire l’affluence des visiteurs durant ces quatre jours d’affilée qui, en fait, ont envahi les stands et leur curiosité et leurs intérêts à suivre les exposés des exposants, la…

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