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Energie - La JIRAMA en mal de fioul 

Publié le mercredi, 26 avril 2023

A sec. La compagnie nationale d’eau et d’électricité vient de lancer un appel d’offres international portant sur l’approvisionnement de cette dernière en fioul lourd. Une mesure qui coïncide à l’arrêt de production de plusieurs centrales fonctionnant à cette énergie fossile et qui était sous l’exploitation d’un des partenaires de la JIRAMA, en l’occurrence la société Henri Fraise et Fils (HFF) qui, selon cette compagnie nationale d’eau et d’électricité, a décidé unilatéralement cet arrêt de production. Arrêt dont les raisons n’ont pas été divulguées ni par la JIRAMA ni par la HFF, jusqu’à présent de façon officielle. Bref, avec le lancement de cet appel d’offres international, la compagnie nationale effectue un retour en zone dans la mesure où une foule de démarches en ce sens a déjà été effectué depuis quelques années au niveau local.

La Capitale sera cernée de concerts en fin de week-end. Il y aura d’un côté celui d’Antsonjombe, le grand spectacle baptisé « Torajofo », sans oublier le rendez-vous rock avec le groupe Iraimbilanja qui se déroulera au terrain de foot Esca le 1er mai. Le public aura de quoi s’occuper pour cette fin du mois d’avril. Raison pour laquelle le groupe Kiaka a décidé de reporter son concert qui devait se produire ce lundi. « Nous savons tous que de nombreux événements  sont organisés pour ce long week-end. En effet, deux spectacles sont programmés du côté d’Antsonjombe et d’Antanimena. Nous avons ainsi décidé de reporter notre concert. L’autre raison est aussi  par respect pour les grands frères du groupe Iraimbilanja.

 La crédibilité de cette Transparency International Initiative Madagascar  est de nouveau mise à mal. La société Cotona Real Estate et le groupe SOCOTA ont publié cette semaine dans de nombreux journaux de la Capitale un droit de réponse et de rectifications  suite à un récent communiqué de presse et une publication sur la page Facebook de Transparency international – MG sur un litige foncier à Mampikony. Dans ladite publication, cette organisation de la société civile aurait fait preuve de « partialité » et balancé des « contre-vérités » et émis des propos à « caractère diffamant », selon la société Cotona Real Estate et le Groupe SOCOTA dans leur droit de réponse.

L’affaire a éclaté vers le début de cette semaine à la  trésorerie principale de la ville d’Ambalavao. Cette entité a été le théâtre d’un vol qui défraie la chronique. La somme de 400 millions ariary a disparu de la caisse du bureau du Trésor local. A la suite d’une plainte intentée par les hauts responsables de cette institution financière publique locale, la Police a démarré une enquête qui a permis l’arrestation de 8 suspects, ces derniers étant tous des employés même du Trésor d’Ambalavao, selon une source. Hier, les huit personnes incriminées ont été déférées au Parquet du tribunal de première instance de Fianarantsoa. Vers 21h hier, la décision du Parquet a été finalement rendue : 5 suspects avaient été placés ou mandat de dépôt à la prison de Fianarantsoa tandis que trois autres ont obtenu une liberté provisoire, sans que la source n’ait fourni de plus amples détails sur l’identité, ni le poste occupé par chacun des incriminés au Trésor.

La une du 26 avril 2023

Publié le mardi, 25 avril 2023

Baguette magique !

Publié le mardi, 25 avril 2023

Baguette magique à la main, une fée réalise des miracles. Des actes impossibles à concrétiser jusqu’alors mais la belle l’a réussi, pour le grand bonheur des enfants, par la force de la  magie.
Moïse, le grand homme de Dieu, durant la traversée du désert, a pu réaliser des miracles grâce à son « bâton », suivant les instructions de l’Eternel.  Pendant quarante ans, les enfants d’Israël tournaient en rond dans le désert des plus arides et dans des conditions les plus hostiles aux humains. Ils criaient la soif et suppliaient leur Dieu de leur fournir de quoi à boire. Ils traitaient Moïse, leur guide  providentiel de tous les mots et aussi de tous les maux. Sur ordre de l’Eternel Dieu, Moïse frappa par son inséparable bâton le rocher et l’eau … jaillit à flots.
Dans le grand Sud, Rajoelina Andry Nirina vient de traduire en actes concrets l’une de ses promesses phares que d’autres n’ont jamais pu réaliser en 60 ans d’indépendance. Présent personnellement à Androy, le Chef de l’Etat a donné officiellement le top de la construction, au départ d’Esalo, par la rivière d’Efaho, un pipeline de 97 km servant les intérêts vitaux d’au moins 400 000 personnes issues des Districts de  Taolagnaro, d’Amboasary- Atsimo et d’Ambovombe. Des Districts les plus durement frappés par une sécheresse quasi permanente durant l’année. Le pipeline est composé de deux lignes de conduite. L’une, destinée pour l’eau potable et l’autre pour l’agriculture et l’élevage. Pour autant dire qu’il ne s’agit pas d’apporter des solutions en eau pour les humains uniquement mais également pour les activités rurales telles que l’agriculture et l’élevage. Le Président de la République en personne a donné le coup d’envoi du démarrage du chantier. Les travaux dureront normalement 330 jours. Le coût des travaux remonte à hauteur de 322. 560. 600. 000 Ar financés par, tenez- vous bien, les fonds propres de l’Etat. Devrait-on signaler les intérêts majeurs pour les populations locales ainsi que leurs activités à travers cette réalisation pharaonique.
Depuis l’époque coloniale et ce jusqu’à ce jour, aucun régime n’a pu mettre en évidence des solutions tangibles et pérennes face à ce caprice innommable de la nature qu’est la sécheresse. Des promesses, il y en a eu ! Des projets, en pagaille ! Mais, des actes concrets, nuls !
Qu’il faille donc attendre qu’un jeune visionnaire dirigeant le pays tenant à la main une baguette magique d’une fée  ou d’un bâton de miracles du genre d’un Moïse pour qu’enfin les pauvres gens et animaux du Deep South voient un jour de l’eau potable couler à flots. Un rêve que beaucoup n’osaient même pas se le permettre.
Propagande ou pré-campagne, qu’à cela ne tienne, le plus important et le plus urgent consistent à sauver des vies. De toute manière, les travaux lancés à Esalo ont été l’aboutissement d’un atelier tenu à Taolagnaro en 2021 conduit par le Président Rajoelina en personne en présence des responsables locaux, des élus et des opérateurs sur place. En fait, il ne s’agit que de la traduction en actes d’un engagement tenu par le Chef de l’Etat à l’époque des faits.
Nous osons espérer qu’au terme de ce premier mandat, le locataire d’Iavoloha se donnera des efforts afin d’apporter l’assistance nécessaire à la population.
Ndrianaivo



Fin de l'inscription aux épreuves en vue de l’obtention du Brevet d'études du premier cycle (BEPC). D'après le ministère de l'Education nationale, 25.001 candidats sont inscrits pour la Circonscription scolaire (Cisco) d'Antananarivo-ville contre 28.069 en 2022, soit une baisse de 4,94 %.  Cette année, 21.218 candidats ont choisi l'option tandis que l’o a recensé  3 7.83 pour l'option B. Cette année, les candidats seront répartis dans 36 centres et 632 salles d'examen.
Selon les enseignants, cette baisse du nombre de candidats est due à la crise économique dans laquelle plusieurs familles fait face actuellement. « Depuis l'année dernière, le nombre des élèves qui ont quitté le banc de l'école a augmenté dans notre établissement. D'après les parents, ils n'ont plus les moyens de payer les écolages de leurs progénitures. D'autant plus que les écoles ont été contraintes d'augmenter les frais de scolarité », soutien Laza, responsable au niveau d'une école privée à Ivandry.
Les épreuves du BEPC se tiendront du 3 au 6 juillet prochain. Pour Antananarivo, la benjamine est âgée de 10 ans et le plus âgé des candidats a 70 ans.
A noter que l'année dernière, 315 514 candidats ont participé aux examens avec un taux de réussite de 56,42 %. Pour les examens et concours en vue de l’obtention du Certificat d’aptitude à l’enseignement dans les écoles primaires (CAE/EP) et le Certificat d’aptitude pédagogique à l’enseignement dans les écoles primaires (CAP/EP), l’inscription débutera le 2 mai à 8 heures et sera clôturée le 14 juillet à 16 heures. Le CAE/EP se déroulera les 5 et 6 septembre, tandis que le CAP/EP se tiendra les 17 et 18 octobre.
Anatra R.


Il n'y a rien de plus dur pour un parent que de perdre un enfant. Que ce soit quelques jours après sa naissance ou quelques années après, la douleur est toujours intense. Un drame terrible qui marque à jamais une vie de famille. La vie des artistes populaires n'est pas tout le temps un voyage musical. Parfois, elle peut aussi virer au cauchemar. Dimanche dernier, c'est sur le réseau social Facebook que la chanteuse, Flash B ou Anne Randrianirina de son vrai nom, interprète du tube « Fausse jokera », a fait part d'une bien triste nouvelle à ses fans. Elle vient effectivement de perdre son bébé âgé seulement de 14 mois.
Selon la chanteuse, cela faisait depuis presque un mois que son petit trésor était malade. « Au début, les médecins ont affirmé que l'enfant avait été atteint d’une petite fièvre et ses parents l’ont traité avec les remèdes prescrits. Cependant, après quelques jours de traitement, l’état de santé de l'enfant ne s'est pas du tout amélioré, et il semble qu'il y avait une tumeur dans sa gorge. Par conséquent, le petit refusait de manger alors qu’il avait toujours faim. Il vomissait toute la nourriture qu'on lui mettait dans la bouche », pleure l’artiste. D’après toujours les informations données par Flash B, l'odeur des matières fécales de l'enfant était également insupportable. C’est à ce moment-là qu’après avoir mené de nombreuses recherches, ses parents ont réalisé que leur bébé avait été victime d’un incident suspect, et qu'il pourrait s'agir d'un empoisonnement fait par des personnes mal intentionnées. « Nous sommes retournés chez le médecin, et c'est à partir de là que nous avons découvert que l'enfant avait peut-être été infecté par le « Voankanina », une maladie ou empoissonnement causée par quelqu'un à travers la nourriture qu'il avait mangée », raconte Flash B. Selon le récit de Flash B, son fils est tombé très malade durant un mois environ. Souriante et  radieuse, la chanteuse avait dévoilé son ventre arrondi pour la première fois le début de l’année 2022 et semblait prête à redonner la vie. Mais le destin en a voulu autrement.
Carrière
Juste âgé de 27 ans, Anne Flaccida Randrianirina doit faire face à la pire épreuve qui puisse arriver pour un parent. Mais la petite blindée est prête à prendre en main son avenir. Rappelons que la belle Flash B a fait un royaume de la musique, avec son tube « Fausse Joker diffusé sur les ondes des radios locaux depuis l'année 2018. Elle continue actuellement à faire fondre le cœur des jeunes et férus de la musique « Tropical ». En 2018, alors qu'elle n'avait que 22 ans, elle a fait craquer les spectateurs lors de la sortie de son premier tube « Fausse Joker ». Le succès de ses premiers tubes l’a persuadée de faire des tournées dans différentes Provinces. Elle sera sollicitée par la suite pour quelques featurings. Aujourd’hui,  avec une dizaine de  chansons colorées comme de l’afro beat, dance hall et tropical, ses morceaux ne quittent jamais la bouche des Malagasy. Si Flash B ne s’est fait connaître qu’avec cette chanson, elle est tombée dans l’univers musical depuis sa naissance, car il y a 27 ans, elle a vu le jour dans le studio de son père. Flash B est la petite nièce de Din Rotsaka. Quant à son père, il fait partie des musiciens du Grand maître Tianjama et de Vaiavy Chila. Sa particularité,  Flash B écrit et compose elle-même ses titres. Parmi ces derniers, on peut citer « Machiro », « Awitr  ymatosy», « Bandy  tsisypassy ». En outre, Flash B a également réalisé un « featuring » intitulé « Laisse parler les jaloux » avec le chanteur congolais J Love. Pour cette année, l’artiste prévoit un grand projet pour satisfaire ses admirateurs.
Sitraka Rakotobe


L'un des illustres personnages du karaté malagasy est de passage dans le pays. Sensei Ramanitrandrasana est arrivé à Madagascar depuis hier, et son programme sera très chargé. C'est le karatéka le plus haut gradé du pays : ceinture noire 10eme dan avec ses 60 ans de pratique. Il soufflera ses 86 bougies cette année.
 Deux jours de stage, suivi d'un grand open de karaté baptisé « Open Ramanitrandrasana  », seront organisés en son nom à la fin de semaine.
Ledit stage aura lieu au Palais des sports de Mahamasina à partir de demain jeudi 27 avril et le vendredi 28 avril de 6h30 à 8h30. « La formation est ouverte à toutes les catégories d’âge et de grade à condition que l’intéressé soit affilié à un club légal », selon le comité d’organisation dirigé par sensei Rakotonirina Marcel.
Un open en kumité et kata sera au programme pour les seniors Dames et Hommes le 29 avril prochain durant la «  Coupe René Ramanitrandrasana ». Pour les jeunes, la formule sera différente car la catégorie de poids ne sera pas prise en compte.
La participation de tous les clubs actifs de la Capitale est vivement souhaitée. « C’est une grande fierté d’avoir sensei Ramanitrandrasana parmi nous, donc autant en profiter», poursuit Rakotonirina Marcel.
 Eiichi Miyazato, fondateur du style Goju Ryu Karaté, en 1957, a ensuite désigné Hanshi René Ramanitrandrasana comme représentant officiel de cette école pour la France en 1998. Le Malagasy a également reçu la même responsabilité de la part du bureau central du Jundokan en 2011 pour Madagascar.
Hanshi René Ramanitrandrasana n'a cessé de pratiquer le karaté depuis bientôt presque 60 ans, plus précisément depuis 1964. Il a été l'un des pionniers du karaté à Madagascar avec maître Ratafy.

 


Des milliers de tonnes de pomme de terre avariée s’entassent à Manandona, faute de collecte. Pareillement du côté de la localité de Tsarahonenana- Sahanivotry où la production en abondance des fruits et légumes tels que les pommes et l’ail peinent à trouver preneurs et pourrissent sur place. Le contexte de l’état des infrastructures routières dans la Région du Vakinankaratra, surtout au niveau de la localité d’Antsirabe II, chamboule toute la chaîne de valeur de la filière agricole dans cette Région. Les producteurs subissent de plein fouet les impacts de la situation. « Les périodes de récolte pour cette année touchent presque à leurs fins. Pour le moment, peu de collecteurs daignent descendre dans notre Région à cause de l’état des routes. On ne sait plus quoi faire des récoltes. Sans parler des pertes considérables que nous enregistrons tant pour le stockage que pour les frais divers » s’attriste Stanislas Rakotonindriana, producteur. Une façon pour cet agriculteur de la Région du Vakinankaratra d’alerter les autorités compétentes quant à la situation à risque des acteurs de cette filière dans le contexte actuel. « Rares sont les collecteurs qui arrivent jusque chez nous à cause de l’état de délabrement avancé de nos chemins de campagne et même d’une partie des routes nationales. Ceux qui viennent imposent des prix d’achat dérisoires. Des prix qui sont loin de nous convenir dans la mesure où ils correspondent à peine aux deux tiers de nos investissements dans la production » explique Rolland Claude, paysan producteur dans la localité de Sahanivotry, Antsirabe II. Selon lui, ces collecteurs proposent un prix d’achat de trois cent cinquante ariary par kilogramme de pomme de terre alors qu’en temps normal ce prix est fixé à environ cinq cents ariary pour que les producteurs puissent rentrer dans leur frais.
Tendance spéculative
Ce prix de trois cents ariary correspond au produit de premier choix que les consommateurs finaux d’Analamanga achètent à près de cinq fois le prix de départ. Les producteurs qui proposent aussi des produits de second et troisième choix sont ainsi obligés de vendre ces derniers à des prix infimes de moins de deux cents ariary le kilo. « Pour ma part, j’investis un peu plus de trois cent mille ariary en semences, engrais chimique et produits de traitement, sans compter la main d’œuvre. À raison de mille cinq cents ariary le kilo de la semence. Avec le prix d’achat qu’on nous impose en ce moment, la totalité de ma production revient à seulement un peu moins de deux cent mille ariary alors qu’en temps normal cela me rapporte environ cinq cent mille ariary pour la récolte », rajoute Stanislas Rakotonindriana. Plus de vingt tonnes de pomme de terre par jour sont récoltées à Manandona présentement. Des produits frais qui ne peuvent attendre longtemps avant d’être commercialisés. Des producteurs d’Antanifotsy, Antsirabe I et II, Betafo et Faratsiho sont aussi dans le même contexte. Pour rappel, la production nationale de la pomme de terre est principalement concentrée dans la seule Région de Vakinankaratra (90 à 95 % de la production nationale). Le rendement moyen de la Région est d’environ six tonnes à l’hectare mais ce rendement varie en fonction de la saison de culture et de la fertilisation. Les débouchés sont généralement Antananarivo dans les grands marchés de la ville, Toamasina, la Région du sud du pays, les marchés de ville d’Antsirabe où les consommateurs et collecteurs achètent directement le produit. Les consommateurs de la Capitale, eux, subissent de plein fouet cette tendance à la spéculation infligée par les opportunistes.
La rédaction

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Editorial

  • Au beau fixe !
     Le Président de la République de Madagasikara Rajoelina Andry NIrina a reçu en audience au Palais d’Etat d’Iavoloha la ministre des Affaires étrangères du Japon Yoko Kamikawa. Une rencontre que certains observateurs qualifient d’historique sinon d’inédite.Le Japon faisait partie des pays ayant noué une relation diplomatique avec la jeune République malagasy. L’empire du Japon était ainsi présent dès les premières heures du retour de la Grande île à l’indépendance en 1960. Seulement voilà, en soixante ans de relation diplomatique, c’est la toute première fois qu’une haute personnalité japonaise du rang de chef de la diplomatie ait pu effectuer une visite officielle au pays. Une grande première que nous, Malagasy, nous ne voulions pas passer inaperçue traduisant ainsi une relation au beau fixe entre les deux Nations voire entre les deux peuples.Le pasteur Ravelojaona, 1879 – 1956, fasciné par le parcours fulgurant de l’économie japonaise à partir du début du siècle…

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