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Dur, très dur ! Imaginez l’immense chagrin qui déchire et accable à la fois cette mère de famille du fokontany Tsarahonenana, commune d’Imeritsiatosika. Mercredi dernier, elle a perdu, d’un seul coup ses trois enfants dont ses jumeaux et sa fillette. Les malheureux ont entre 8 et 11 ans. Ces derniers qui ont marché avec leurs deux copains du village,  s’étaient malheureusement noyé dans le fleuve Katsaoka à l’issue  d’une promenade.
Car sur le chemin du retour, ces enfants ont voulu changer leur itinéraire. Au lieu de le contourner comme ils l’ont fait au départ, ces gosses ont cette fois-ci choisi de traverser le fleuve à la nage.
C’était dans ces circonstances que le drame est survenu. Les trois membres de la fratrie s’étaient alors noyé pour un motif qui échappe encore au commun des mortels.  Les tentatives de leurs amis pour les secourir, étaient vaines. Pire, ces derniers ont failli, à leur tour, se laisser emporter par le courant. Non loin de là, un bouvier a assisté à la scène. Il a voulu dégager les enfants du piège mortel, réussissant finalement à remonter deux d’entre-eux sur la terre ferme, mais malheureusement pas les trois membres de la fratrie.
Pendant cela, le villageois ont reçu l’alerte et s’étaient mobilisé.  Malheureusement,   c’était déjà trop tard. Les 3 victimes n’étaient déjà plus en vie  lorsqu’on a fait dégager leurs corps de l’eau. 
Les premiers éléments de l’enquête ont avancé que, les 5 enfants, au début de l’affaire, ont cueilli des fruits des arbustes situés sur l’autre rive de Katsaoka, et ce, une fois  après que la mère de la fratrie leur eut tourné le dos pour aller vaquer à ses occupations, la concernée étant lavandière de son état.   De leur côté,  les deux autres enfants  étaient tellement encore traumatisés qu’il leur était impossible de narrer le déroulement du drame. Un drame, notamment pour cette lavandière dont son mari l’avait quitté, et qu’elle doit subvenir aux besoins de sa petite famille. La pauvre femme n’a plus maintenant qu’un petit garçon, le plus âgé de la fratrie. La gendarmerie poursuit l’enquête sur cette affaire.
Dire que quelques jours auparavant, une autre maman a jeté délibérément sa fillette de 2 ans, cette fois-ci dans le fleuve Betsiboka, à la suite d’une brouille d’avec on mari. Cet autre drame a ému, non seulement la localité de Beronono, district d’Anjozorobe, mais également le pays entier. La perte de petits innocents, dans une noyade, et quelque soit le motif, a été toujours considérée comme une calamité aux yeux des Malagasy.
Franck R.

 

Code idéal !

Publié le jeudi, 27 avril 2023

Le parfait existe-t-il ici-bas ? Pourra-t-on un jour atteindre le cap de l’idéal ? Apparemment, non ! Au-delà du « négatif », il n’y a pas d’autre réponse. C’est la stricte vérité ! Autrement, il s’agit de la tromperie, de l’arnaque, de la démagogie, etc.
Ténors de l’Opposition, candidats potentiels, organismes à caractère religieux, mouvements associatifs ou autres crient au scandale. Ils fustigent ensemble la loi organique n° 2018 – 008 relative au régime général des élections et référendums à Madagasikara et pestifèrent  ensemble le code électoral en particulier. Tous les mots sont bons pour diaboliser ce cadre légal appelé à gérer le processus électoral dans le pays.
D’aucuns n’ignorent pas dans quelle condition la loi organique relative au régime général des élections et référendums a été adoptée à l’Assemblée nationale en 2018. Du forcing au forceps ! Etc. Les termes manquent pour évoquer de façon exacte la situation réelle. On a bel et bien toujours dans les mémoires la réaction de certains élus parlementaires regroupés spontanément au sein des « 73 députés pour le changement » dénonçant le diktat de l’Exécutif du régime HVM. Un mouvement qui a conduit d’ailleurs à la chute … prématurée du Président Rajaonarimampianina à l’issue du verdict des urnes en décembre 2018.
Rafraichissons les mémoires ! Cette loi organique, source de conflit et par laquelle le code électoral en vigueur a été tiré, fut le cadre légal des scrutins de 2018 et 2019 (présidentielles et législatives). Personne n’y voyait d’inconvénients. Le Président de la République fut élu sans remous majeurs. L’échiquier politique national, notamment les opposants et la communauté internationale, reconnaissent le verdict émis par la HCC. A titre d’illustration, le candidat battu au second tour, Ravalomanana Marc, était le premier à féliciter le Président élu Rajoelina Andry Nirina, tout juste après la lecture par le président de haute institution d’Ambohidahy des résultats définitifs. En fait, il reconnait en toute humilité et en toute honnêteté devant la Nation sa défaite. Un bon geste de fair-play d’un citoyen digne d’un Etat de droit et de la souveraineté d’une Nation. D’ailleurs, l’opinion nationale et internationale ont tenu à exprimer leurs félicitations à l’endroit de Ravalomanana Marc.
Question. Pourquoi en cette veille de l’échéance de novembre traite-t-on de tous les maux à cette loi organique et le code électoral avec, qui est, en fait, la même à celle appliquée de novembre 2018 ?
Réponse. Le vent de la déroute prochaine souffle déjà. Quelque part, on cherche dès maintenant les voies ou les manœuvres dilatoires afin de dissimuler l’échec. Une forme de refus du probable débâcle. On accuse les autres, la loi organique relative aux élections, le code électoral, etc. Ainsi, on cherche la petite bête !
Au final, à la croisée des chemins, le pays se trouve à la recherche des codes parfaits sinon idéaux dans l’espoir de relancer le pays, dirait-on, mais attention avec également le risque de tout chambouler. Code minier ! Code d’investissement ! Code du travail ! Code électoral… et pourquoi pas « Code de conduite » voire « Code d’éthique » !
Il est honteux de devoir constater qu’après 60 ans d’indépendance, le pays soit encore à la recherche des voies de développement et cela à cause de certain état d’esprit délétère.
Ndrianaivo




Restreint. Elles sont 19 industries à avoir pu décrocher le précieux sésame et d’intégrer la courte liste des sociétés qui bénéficieront d’un tarif préférentiel dans le cadre de l’ « Optima Business » imposé par la compagnie nationale d’eau et d’électricité pour les clients professionnels pour une durée de 12 mois et non rétroactive à compter de la publication de la décision. Cette décision a été prise hier en Conseil des ministres. Décision qui précise que contrairement à l’ensemble des entreprises et industriels abonnés de la JIRAMA, la hausse qui va s’enregistrer dans les factures de consommation de ces 19 industries sensibles, avec l’application de l’Optima Business, est de 40% de plus que ce qu’elles avaient payé avant l’entrée en vigueur de cette tarification. Pour les autres, les hausses prévues par l’Optima Business s’appliquent déjà à 100% depuis le début de l’année. Une décision qui semble inquiéter ceux qui n’ont pu intégrer cette liste de privilégié. « Nous sommes conscients du fait que ces tarifs doivent contribuer à redresser l'équilibre financier et opérationnel de la JIRAMA, criblée de dettes et confrontée ces dernières semaines à des difficultés pour fournir de l'électricité. Pour remédier à la situation, les experts de la Banque mondiale ont proposé d’en finir avec les tarifs démesurément bas accordés à certains gros clients industriels. Cependant, dans sa forme actuelle, la proposition de la JIRAMA s'apparente à faire disparaître un certain nombre d'industries vitales pour le reste de l'économie à Madagascar », confie le gérant d’une industrie de taille de la Capitale.

Impacts

Pour rappel, l’Optima Business concerne notamment les industriels qui opèrent dans le domaine de la fabrication de tissu comme le tissage et la filature, dans la cimenterie, dans le travail métallique ou dans la transformation de produits chimiques. L’application de cette nouvelle tarification devrait permettre de redresser la société d’Etat productrice d’électricité et de préserver, par la même occasion, les activités des entreprises. Malgré tout, cette décision a été accueillie de manière positive par la plupart des acteurs du secteur privé qui émettent tout de même quelques craintes par rapport à la visibilité de la continuité de leur activité après ce délai d’un an annoncé par l’Etat. « Cette liste de 19 entreprises a été décidée en concertation entre le secteur privé, la JIRAMA ainsi que l’Etat à travers le ministère de l’Energie. Une liste établie en fonction de la consommation des industries ayant aspiré à ce tarif préférentiel. Certes, ces dernières pourront alors souffler pendant un an. Mais la visibilité des activités, une fois ce délai dépassé, reste encore à déterminer. Si la hausse redevient ensuite à 100 % au lieu des 40 annoncés, qu’adviendra-t-il de ces sociétés car cela impactera sur le produit final et touchera directement les consommateurs» explique Tina Rasamimanana, président du Syndicat des industries de Madagascar (SIM).

La rédaction

Agenda du week-end

Publié le jeudi, 27 avril 2023

Vendredi 28 avril
Benny, Bebey et Nini
Les inconditionnels de « Lolo sy ny Tariny » seront bien servis ce soir. Les trois amis de scène Benny, Bebey et Nini Kolibera sont de nouveau réunis pour animer en musique ce vendredi qui s'annonce à l'avance prometteuse. Ils offriront un spectacle ce soir à partir de 20h 30 au Piment Café de Behoririka. Avec eux, l’ambiance ne peut être qu’exceptionnelle. A cette occasion, ils vont à nouveau embarquer le public dans un rendez-vous inédit. Comme au bon vieux temps, Benny et sa bande vont replonger leurs inconditionnels dans les années 70-80. Le folksong, le blues, le « bà gasy » et la country music seront à l'honneur par le biais d'un riche répertoire de chansons populaires dont « Fibata », « Dimbaka avy any Nazareta », « Tablier manga », « Raha mankany ialahy», « Lemizo ».
Kiaka
Nini et sa bande auront de quoi s’occuper pour ce week-end. Avant leur participation au grand concert « Torajofo », le groupe Kiaka enflammera la scène du Cercle franco-malagasy sis à Anosy ce soir à partir de 21h. Cette fois-ci, Nini et son équipe vont aligner leurs titres les plus connus durant toute une après-midi. De « Rovako » à « Atolotro anao », en passant par « Rock’n roll namako » ou encore « Nofy », la jeunesse des années 90 va avoir droit à une soirée des plus enflammées.
Samoëla
Le « Revy Samoëla » continue ». Après l’énorme succès de son dernier concert qui s’est tenu au terrain de foot à l’ESCA, Antanimena, le détenteur de « Bandy Rangahy » va pour un autre rendez-vous.  Lui et son équipe se produiront à l’Honor’A Mahamasina ce soir à partir de 21h. Ce sera une autre occasion pour ses fans de retrouver leur idole. Pour les amoureux du « Vazo miteny », il s’agit donc de la dernière rencontre pour ce mois-ci avec l’artiste. Cette soirée est aussi l’occasion pour les fans d’entendre Samoëla chanter en « live » le nouveau titre « Marenina Aloha » qui cartonne déjà dans les ondes de la Capitale. Durant la soirée, la star et son équipe effectueront une vente de clés Usb audio, CD audio et des T-shirt. Ce sera la première fois que la formation arpentera la scène d’Honor’A Mahamasina. Cependant, le public pourra déjà s’attendre à un concert des plus enflammé. A ne pas rater sous aucun prétexte !
Samedi 29 avril
« Gasy Vibration »
Les artistes les plus en vue du moment seront à l’honneur dans un grand événement mêlant défilé de mode et musique. Demain soir, la grande salle du Centre de conférence international (CCI Ivato) abritera l’événement « Gasy Vibration Fashion Edition ». Un grand show qui  fait partie de ceux que les jeunes et le public d’un certain âge devront noter dans leur agenda. Le spectacle s’annonce riche en ambiance et en couleur musicale. « Tous en blanc » pour le « Dress code » comme les organisateurs l’indiquent, un public immense et élégant sera attendu dans l’antre du CCI Ivato à partir de 21h. Pour ce faire, l’événement « Gasy Vibration »  promet de réunir une brochette rarissime de stars. Le public retrouvera sur scène des jeunes chanteurs qui tournent le plus actuellement, entre autres Mr Sayda, Ljo, Ceasar et le groupe FSC Music. Et pour faire de cet événement un moment inédit, il y aura des défilés de mode avec Me’Chic’Gasy, Bellissima, Werawera et un spectacle de chorégraphie animé par le groupe de danse Gasy Makua.
Dimanche 30 avril
Poopy
L’attente sera bientôt terminée pour les nombreux fans de Poopy. La chanteuse, par le biais de la maison de production « Théâtrône », donnera un grand concert pour la célébration de ses 40 ans de scène. L’artiste qui a su conquérir le cœur des mélomanes malagasy au fil des années et s’imposer comme une valeur sûre de la musique locale, se produira au Palais des Sports,  Mahamasina ce dimanche à partir de 14h 30. 40 années passées dans la musique, cela se fête dignement comme il se doit. Ainsi, pour marquer cette célébration en grande pompe, la chanteuse et son équipe offriront cinq heures de concert pour revivre les chansons qui ont bercé les ouïes des mélomanes depuis les années 80. Un show durant lequel Poopy fera le tour de son répertoire. Pour ce spectacle qui se veut anthologique, la star sera accompagnée de ses danseuses et sera habillée par une styliste étrangère.
Lundi 1er mai
Iraimbilanja
Un groupe de rock infatigable ayant toujours autant d’énergie lorsqu’il monte sur scène. Avec Batata et ses complices, les années passent, mais le talent reste au top même après plus de quatre décennies de carrière. Iraimbilanja, l’un des groupes les plus célèbres dans la Grande île, ne chôme pas. Les gars sont de retour avec plus de ferveur et entameront un grand concert pour célébrer leurs 40 années de service musical. Pour Niry et sa bande, il leur est inconcevable de s’éloigner de la scène longtemps. Depuis le début de l’année, le groupe n’a cessé d’arpenter quelques planchers de la Capitale. Pour ce grand rendez-vous, les « Raimbl » ont choisi de faire une descente au terrain de foot de l’ESCA Antanimena, ce lundi 1er mai. Encore une fois, la nostalgie sera au rendez-vous, mais le plaisir de réécouter les « Tao an-tsekoly » ou « Raosy jamba » sera renouvelé. Des artistes surprises seront également de la partie.
Si.R

LA UNE DU 27 AVRIL 2023

Publié le mercredi, 26 avril 2023

Les œuvres enregistrées à l'Office malagasy de la propriété industrielle (OMAPI) a augmenté d'environ 15% pour l'année 2022, a indiqué la directrice générale de ce département, Priscilla Andrianarivo, lors de la célébration de la Journée mondiale de la propriété intellectuelle, hier. Beaucoup de créateurs, d’innovateurs ou auteurs y sont venus pour effectuer l’enregistrement de leurs œuvres mais il y en a encore ceux qui sont réticents. Afin de les convaincre, l’OMAPI a effectué des descentes sur terrain entre autres à Antaninarenina où son équipe a rencontré les exposants de la manifestation « Kaly Malagasy mahasalama ». Par ailleurs, une conférence s’est tenue au ministère de l’Economie et des Finances à Anosy.

Les autorités seraient-elles induites en erreur ? Cette hypothèse gagne en popularité à Toliara quant à la suspension d’un projet minier local. Elles auraient reçu des fausses informations, selon celles recueillies sur place. Tsimitamby, un anthropologue natif de Toliara, dit bien connaître le dossier. Des études anthropologiques y ont été menées pour transférer les corps des défunts et les cimetières touchés par l’exploitation de la mine d’Ilménite. Mais cette opération a été stoppée dans son élan avec la suspension du projet minier.

Routes de Tanà - Réhabilitation en bonne voie 

Publié le mercredi, 26 avril 2023

L’état désastreux des routes de la Capitale fait partie du quotidien des usagers et engendre des retards considérables sur les déplacements en véhicules. En plus du manque d’entretien, les pluies de cette année ont précipité leur dégradation. Ainsi, afin de soulager les automobilistes, 43 routes font actuellement l’objet d’une réhabilitation.

Le ministère des Travaux publics a pris en main la situation, en collaboration avec la Commune urbaine d’Antananarivo qui a aussi sa part d’ouvrage.

L’axe Isotry vers l’Aigle noir est en passe de se terminer (75% des travaux achevés) et sera rouvert d’ici deux semaines. Une fois Isotry terminé, ce sera au tour de la partie desservant la CNaPS Ampefiloha vers Tsaralalàna et Analakely.

Syndrome libyen

Publié le mercredi, 26 avril 2023

Les violentes rafales du « Printemps arabe » de 2011 balayèrent successivement les régimes des potentats  de l’Afrique du Nord. Les dictateurs inamovibles sinon indéboulonnables de Tunisie, d’Egypte et de Libye, respectivement Zine el-Abidine Ben Ali, Hosni Moubarak et le colonel Mouammar Kadhafi ont payé les frais des révoltes populaires. Si les deux premiers ont quitté le pouvoir pour laisser la place chacun à une structure nationale transitoire devant gérer les affaires nationales, le cas du troisième déchu, Mouammar Kadhafi, avait connu un sort différent. La Libye se divisait en deux factions rivales qui s’entretuaient à travers un conflit armé. Le « Conseil national de Transition » composé des rebelles au nord-est et à l’ouest (Tripoli) l’armée régulière fidèle à Kadhafi. Le CNT, reconnu par la communauté internationale dont principalement la France et l’Angleterre, parvenait à occuper Tripoli et mit aux arrêts le guide libyen qui mourut en octobre 2011 dans des conditions infamantes. Mais, la Libye reste partagée en deux forces rivales dont les hostilités sont loin d’être aplanies pour en devenir un syndrome inquiétant.

Le cinquième mois de cette année promet d’être joyeux avec les diverses innovations en matière de High tech avec des marques de renommée mondiale. Dans ce domaine, Madagascar n’est pas en reste grâce à la société « Baolai » sise à Soarano, Analakely et Bazar Be Toamasina. « Pour satisfaire le public, nous serons exceptionnellement ouvert le 1er mai 2023. Et les promotions sur certains de nos écrans plats continuent avec pour tous une garantie de 12 mois. Les TV 32 pouces de marque « Jeyoo » sont disponibles à partir de 350 000 ariary. Et enfin, pour une « Hisense » de 32 pouces de 529 999 ariary achetée, nous offrons un fer à repasser », d'après un responsable.

 

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Editorial

  • Au beau fixe !
     Le Président de la République de Madagasikara Rajoelina Andry NIrina a reçu en audience au Palais d’Etat d’Iavoloha la ministre des Affaires étrangères du Japon Yoko Kamikawa. Une rencontre que certains observateurs qualifient d’historique sinon d’inédite.Le Japon faisait partie des pays ayant noué une relation diplomatique avec la jeune République malagasy. L’empire du Japon était ainsi présent dès les premières heures du retour de la Grande île à l’indépendance en 1960. Seulement voilà, en soixante ans de relation diplomatique, c’est la toute première fois qu’une haute personnalité japonaise du rang de chef de la diplomatie ait pu effectuer une visite officielle au pays. Une grande première que nous, Malagasy, nous ne voulions pas passer inaperçue traduisant ainsi une relation au beau fixe entre les deux Nations voire entre les deux peuples.Le pasteur Ravelojaona, 1879 – 1956, fasciné par le parcours fulgurant de l’économie japonaise à partir du début du siècle…

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