Publié dans Editorial

Offensive tous azimuts

Publié le jeudi, 23 septembre 2021

A l'assaut ! Le régime Orange mène le combat et attaque sur tous les fronts, en interne aussi bien qu'en externe. La bataille pour le redressement du pays n'a pas de frontières. Rajoelina Andry Nirina, l'homme fort du régime « Volom-boasary », ne ménage point les efforts. Il s'engage dans une offensive tous azimuts à l'intérieur comme à l'extérieur.

 

En interne, la bataille pour redresser le pays fait rage. Le défi à surmonter est de taille et multiple. Le « kere » dans le Sud impose des efforts colossaux. Une course contre la montre à laquelle le leader du régime n'a point droit à l'erreur. Une question de vie et de mort. Vitesse et non précipitation dicte toutes les actions. Aucun responsable, du haut de l'échelle jusqu'à l'étage inférieur, ne peut pas se permettre de transiger ni de perdre son temps à des futilités.

La bataille contre la pauvreté et l'insécurité, à l'échelle nationale, exige une détermination sans faille. Personne n'a le droit de sous-estimer l'importance de la mission qui l'attend. La situation alarmante dans tous les domaines exige à tous, ministres, parlementaires, gouverneurs et responsables à tous les niveaux, un comportement exemplaire voué au service de la Nation. Corruption, impunité et malversations dans la gestion des affaires nationales ne nous méritent plus. Le Chef de l'Etat, à travers sa croisade contre les inepties, n'a de cesse rappelé que l'amélioration des conditions d'existence des vingt-cinq millions de Malagasy passe obligatoirement en priorité. Une bataille rude, âpre et sans relâche. Elle requiert une abnégation prête à affronter toute épreuve.

Le combat pour la modernisation des infrastructures sanitaires, culturelles/éducatives, judiciaires et sportives prévu dans le « Velirano » constitue un engagement que le Président Rajoelina n'entend pas reléguer au second rang. Il y va de sa crédibilité.

Toujours en interne, la réponse aux actes nuisibles des détracteurs nécessite une offensive appropriée de la part du Président et ses collaborateurs qu'ils ne comptent jamais laisser au hasard. Rajoelina ne prend jamais à la légère les effets de nuisance des ennemis de la Nation. Seulement, il répond aux boulets rouges par des actes concrets.

A l'international, l'offensive revêt une autre dimension d'envergure à laquelle le Chef de l'Etat, en dépit des attaques sournoises, excelle. Certains acteurs politiques et observateurs de mauvaise foi mésestiment la capacité du locataire d'Iavoloha à défendre les causes du pays ou à attirer les investisseurs. Il les invite à s'intéresser sur Madagasikara. De Longchamp (Paris) à New York, en passant par le Quai d'Orsay (Paris), Rajoelina défend brillamment les intérêts de la Grande île. La preuve, on n'hésite pas à s'impliquer dans les grands projets.

A la tribune des Nations unies, lors de la 76ème session annuelle, le Président de la République de Madagascar expose de façon magistrale les tenants et aboutissants de la diplomatie malagasy. Tous les domaines stratégiques, entre autres la politique et l'économie, ont été nettement décortiqués. Rajoelina appelle l'ONU à assumer sa responsabilité vis-à-vis des résolutions adoptées auparavant. Le cas des îles Eparses doit susciter le point d'honneur de l'Assemblée générale de l'auguste Organisation.

En somme, le Chef de l'Etat Rajoelina lance une offensive tous azimuts à l'interne, tout comme à l'externe pour défendre les intérêts majeurs de Madagasikara. Il inaugura à l'ONU de façon solennelle le nouveau visage de la diplomatie malagasy.

Ndrianaivo

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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