Publié dans Société

Transport - Le Bajaj interdit sur les routes nationales

Publié le mardi, 04 juillet 2023


La circulation des Bajaj prend de l’ampleur sur le territoire national, autant que les taxis- motos. Dans les 5 ex-Provinces, même le centre-ville est envahi par ces moyens de transport. Cependant, les Bajaj entravent la circulation puisqu’ils ne sont pas encore adaptés à la norme des infrastructures routières dans le pays. Selon une note du ministère des Transports et de la Météorologie, les tricycles motorisés commencent à circuler sur les routes nationales. Pourtant, leur vitesse maximale ne doit pas dépasser les 40 km/h. Par conséquent, ils gênent les véhicules plus puissants dont la vitesse minimale est de 60 km/h. Par ailleurs, le Bajaj est plus exposé aux accidents de la circulation car au moindre coup de volant ou excès de vitesse, une sortie route pourrait lui arriver

A cet effet, ce département ministériel a émis une note de service. Il a rappelé que les Bajaj sont seulement autorisés à circuler à l'intérieur d'une Commune. « Ces moyens de transport ne devraient pas encore dépasser cette limite jusqu’à ce que des textes réglementaires fixant les règles relatives à l'exploitation d'un véhicule tricycle motorisé au transport routier de personnes ou de biens soient publiés ». Ainsi, certaines Communes y compris la Commune urbaine d’Antananarivo n’acceptent pas encore la circulation des Bajaj, et ce malgré l’accroissement de la demande concernant l’exploitation d’un nouveau moyen de transport adapté à la ville afin de diminuer les embouteillages et de pallier le manque de véhicules de transport en commun.

Le fait de violer ces règles est passible d’un avertissement ou d’une sanction dont la mise en fourrière du véhicule, le retrait temporaire d'une durée maximale de trois mois ou même définitif des documents administratifs.

Anatra R.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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