Publié dans Société

Semaine sainte et Pâques - Leur célébration désormais réalisée sans restriction sanitaire

Publié le lundi, 11 avril 2022

Privées de leur célébration dans les églises pendant deux ans en raison de la pandémie de Covid-19, la Semaine sainte et la fête de Pâques sont pourtant très attendues par les fidèles. Cette année, c'est la première fois depuis cette crise sanitaire que les chrétiens pourront célébrer la résurrection du Christ sans restriction sanitaire. Toutes les églises sont dorénavant ouvertes et sont libres d'organiser leurs programmes. Depuis avril 2020, la célébration de la fête de Pâques a été mise entre parenthèse tandis que l'année dernière, le nombre de l'assistance a été limité au sein des églises. Pour les églises catholiques, durant la Semaine sainte se tiendront les messes chrismales. Les évêques bénissent les huiles saintes qui serviront pour les sacrements du baptême, de la confirmation et de l'ordre.  

La Semaine sainte commence le dimanche des Rameaux. Il inclut le Jeudi saint et le Vendredi saint et se termine avec la veillée pascale, le samedi. Parmi la célébration de cette fête chrétienne figurent le dimanche des Rameaux, la messe de la Cène du Seigneur, l'office de la Passion, ainsi que la vigile pascale durant laquelle se tiendra le baptême des adultes et des jeunes. Quant aux églises protestantes, les cultes et concerts évangéliques animés par les enfants et les chorales prendront place. 

Pour les chrétiens, le Vendredi saint est le plus important. Il symbolise le chemin de croix de Jésus-Christ, et par-là même sa crucifixion et sa mort.

La fête de Pâques est la plus importante pour les chrétiens. La mort du Christ et la foi en sa résurrection cimentent une base qui rassemble tous les chrétiens, qu'ils soient catholiques, protestants ou orthodoxes. Comme il s'agit d'un jour de tristesse et de recueillement, les églises catholiques ont pour coutume de voiler les crucifix et ce jusqu'à la veillée pascale du Samedi saint. 

Bien qu'aucune restriction ne soit plus imposée, les fidèles devront toujours respecter les  barrières sanitaires comme le port du masque, la désinfection des églises ou encore le lavage des mains avec du savon.

Anatra R.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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