L’Afrique pour l’Afrique. Des mots qui résument le onzième forum de secteur privé. En marge de l’événement organisé au Centre de Conférence international (CCI) Ivato, l’Institut National en Science comptable et Administration des entreprises (INSCAE) a dispensé une formation intitulée « Empowering women and youth with entrepreneurial skills ». Ce séminaire destiné aux jeunes entrepreneurs africains s’est tenu au Nexta Andranomena pendant trois jours et ce depuis dimanche jusqu’à mardi dernier. En effet, face à la révolution industrielle qui attend l’Afrique notamment dans la transformation productive, il est indispensable de donner aux femmes et jeunes du continent les moyens d’acquérir les compétences entrepreneuriales. Les 87 participants vont alors devenir un grand acteur dans cette dynamique qui est en train de se développer en Afrique. « Un grand marché nous attend sur le continent africain. En 2017, l’Afrique a importé 17 millions de tonnes de riz. Désormais, nous allons transformer nos matières premières et cela à travers la promotion du secteur privé. 87 jeunes africains ont ainsi bénéficié d’une formation pour qu’ils développent leur capacité entrepreneuriale », explique le professeur Victor Harison, commissaire aux affaires économiques de l’Union Africaine, lors de son discours.

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Issus des 6 lycées publics de la Capitale. La campagne de sensibilisation sur les droits des enfants, la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) et contre le mariage précoce a pu toucher un millier de lycéens. Les 3 jours de campagne ont été une occasion pour l’association Fitia et ses partenaires de renforcer leurs activités dans cette lutte de longue haleine. D’ailleurs, cette action de ladite association, présidée et fondée par la Première Dame Mialy Rajoelina et non moins ambassadrice du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) dans la lutte contre les VBG, se fait chaque début d’année scolaire.
Hier, les élèves en classe de seconde et première auprès du lycée Jules Ferry Faravohitra (LJF) et ceux du lycée Andohalo (LAA) ont reçu leur part de conscientisation et de sensibilisation. « C’est la première fois que j’assiste à ce genre de campagne. Désormais, je connais les formes de violence et de non respect des droits de l’enfant ainsi que les autorités à consulter pour signaler des cas », avance Niriantsoa, lycéen du LAA. « Je suis surprise du fait qu’une personne témoin d’un cas de violence mais qui ne fait aucun signalement soit considérée comme un complice.

Publié dans Société

En réalité, nous ignorons si tel est vraiment le titre de la chanson. Celle-ci, à notre connaissance, n’a été immortalisée dans aucun album de Mahaleo et de mémoire, sauf lorsqu’elle a été enregistrée en live, elle n’a plus été incluse dans les playlist des concerts du groupe auxquels nous avons assisté. Il s’agit pourtant, à notre avis, de l’une des plus belles compositions du regretté Dadah, l’artiste ayant su parfaitement traduire dans la mélodie et son accompagnement, les sentiments exprimés par les paroles. Dans la version dont nous avions pu nous procurer dans les années 80, « Manina anao ‘nge aho » a été interprétée en medley avec deux autres titres mythiques, à savoir « Andro ririnina » et « Hanaraka anao » (entre les deux, plus précisément). Malheureusement, à force d’être repassée, la cassette qui renfermait cet enregistrement inédit a fini par rendre l’âme. Par la suite, nos recherches auprès de nombreux inconditionnels du groupe Mahaleo sont restées vaines. Si certains avouent avoir un vague souvenir de la chanson, d’autres n’en connaissaient pas l’existence. Gageons que si « Manina anao ‘nge aho » est ressuscité, il connaîtra autant de succès  -  sinon plus  - que les deux autres titres avec lesquels il était enchaîné, même s’il est dommage que l’on ne puisse plus l’apprécier avec la voix inégalable de son auteur, à laquelle s’ajoutait dans les refrains celle du non moins regretté Fafah.
Hery M.

Publié dans Politique

Une touche de nouveauté dans le monde de l’artisanat malagasy. Les artisans seront désormais dotés d’une carte professionnelle numérique. La nouvelle carte a été présentée au cours d’une réunion des acteurs dans le secteur de l’artisanat hier au bureau de  la direction régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat à Antsirabe.Ladite réunion – à laquelle a participé les hauts responsables du ministère de tutelle et une centaine d’artisans – a permis d’aborder les nombreux avantages dans la possession de cette nouvelle carte. En premier lieu, elle servira de moyen de reconnaissance des artisans mais constitue également un critère de professionnalisation. La carte permet aussi aux artisans d’obtenir des offres de formation et facilite leur participation aux foires. A cela s’ajoutent d’autres formes d’appui dont pourront bénéficier les titulaires de cette carte.

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Les cinq candidats à l’élection municipale à Antananarivo ont croisé le fer, hier, lors d’un débat à l’Hôtel de ville d’Analakely. Organisé par les employés de la commune, ce premier débat de la campagne électorale intitulé « Donak’afon’Analakely » a réuni Eliace Ralaiarimanana, Rina Randriamasinoro, Alban Rakotoarisoa, Naina Andriantsitohaina, Feno Harison. Durant près de trois heures, ces candidats-maires ont débattu des principaux enjeux de l’actuelle campagne électorale, soit le ramassage des ordures, la gestion des marchés, la circulation et les transports, les inondations et la collaboration avec l’Etat central. Durant les quelque 18 minutes des temps de parole impartis à chacun, chaque candidat a essayé de mettre en avant son programme concernant ces points précis.  Si les échanges entre les débatteurs ont été relativement courtois, quelques échanges musclés entre eux ont été quand même notés.  Les petites phrases lancées entre le candidat de l’Isika rehetra miaraka amin’i Andry Rajoelina et celui du Tiako i Madagasikara ont notamment le plus retenu l’attention.

Publié dans Politique
vendredi, 08 novembre 2019

Tana-Masoandro, l’indispensable !

Un quotidien de la place publia, à travers ses colonnes, une importante interview accordée par un éminent architecte-urbaniste Mamy Rajaobelina dont le thème central porte sur le projet présidentiel  « Tana-Masoandro ». Un sujet, en dépit des débats et des commentaires suffisamment prolifiques, continue toujours de défrayer les chroniques et de focaliser les esprits. Une interview qui offrira l’occasion à l’opinion d’avoir une perception plutôt technique sur Tana-Masoandro de la part d’un expert en la matière Mamy Rajaobelina. Il n’hésite pas de déclarer que « Tana-Masoandro est vital pour le futur de la Capitale ». Mamy Rajaobelina fait partie de l’un des rares experts malagasy maitrisant sur le bout du doigt l’architecture axée sur l’urbanisme. Un certain Guy Willy Razanamasy, le Premier ministre nommé par le Président Didier Ratsiraka des suites des mouvements de contestation en 1991, lui confia le portefeuille du développement de la ville dans son Gouvernement.  Mamy, pour les intimes, accompagna et supervisa sans interruption, en tant que DG ou PCA, les activités de l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt public et d’aménagement (AGETIPA), créée en 1993 et précurseur de l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d’Antananarivo (APIPA). Pour ainsi dire que Mamy Rajaobelina est un fin connaisseur et technicien relatif aux tenants et aboutissants du traitement des dossiers concernant le développement de la Ville des Mille et  l’avis qu’il émet sur la nécessité de l’éventuelle extension de Tanà relève de la plus haute importance. A rappeler à juste titre que le bulletin d’information de l’AGETIPA, à l’époque, porta le titre de « Ville nouvelle ».

Publié dans Editorial
vendredi, 08 novembre 2019

La une du 09 novembre 2019

Publié dans La Une

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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