Nos archives web

Avis de recherche

Publié le lundi, 18 juillet 2022

Où est-elle ? On l’a perdue de vue voilà des mois, serait-elle passée de vie à trépas ? Invisible sur l’écran de recherche du radar, la « Commission spéciale pour la mise en accusation », car il s’agit d’elle, se serait-elle égarée dans les dédales de l’Assemblée nationale ? Les membres se seraient-ils volatilisés dans les travées de l’Hémicycle ? Et nous, une sentinelle de la vie nationale, de lancer un « Avis de recherche » et cela au nom de la bonne gouvernance et en vertu de l’assise d’un Etat de droit.

En cette période de grandes vacances, les appareils électroménagers sont très prisés. Dans ce contexte, la société Baolai gâte le public. « A la demande générale, la promotion-cadeau sur certains Smart TV et téléviseurs Led de marque Jeyoo continue dans tous nos show-rooms d’Analakely, Soarano et Bazar be Toamasina. Les modèles concernés sont compris entre 32 et 85 pouces (garantis 1 an). Les détails sont à découvrir sur la page Facebook et sur le site web Baolai, ou en téléphonant au 020 22 605 88 - 020 22 308 48 - 033 37 188 88 (en heures de bureau) », d' après un responsable.

Pour montrer la transparence, le module « Demande d’autorisation d’engagement » vient d’être lancé hier à Anosy par le ministère de l’Economie et des Finances. Le but étant de continuer vers la modernisation de l’administration publique et contribuer à la performance de l’exécution budgétaire en général et dans la mise en œuvre du Projet d’investissement public (PIP) en particulier sur le Système intégré informatisé de la gestion des finances publiques (SIIGFP). Ce processus a connu diverses étapes de consultation, de mises à jour et de validations jusqu’à son adoption en Conseil des ministres au mois de mars dernier.

« Je suis sidéré ». Tels sont les mots du ministre Pierre Houlder, ministre de l’Aménagement du territoire, hier, en guise de réaction suite à la dernière déclaration du parti « Hery Vaovao ho an’i Madagasikara ». Pour rappel, dans une déclaration signée par son coordonnateur national Rivo Rakotovao et publié samedi dernier, le parti HVM pointe du doigt ce qu’il qualifie d’ « abus de pouvoir et de violation de la loi » lors du déplacement du Président Andry Rajoelina à Mandoto, vendredi dernier. Un déplacement qui aurait été mis à profit pour une « campagne électorale avant l’heure » par la présence des membres du Club des Supporters d’Andry Rajoelina (CSANR).

L’information a circulé dans le microcosme politique malgache, hier durant la journée. Elle a été confirmée par les proches de la concernée. En effet, une haute personnalité repose actuellement dans un état critique dans un établissement hospitalier de la Capitale. Jusqu’ici cependant, les informations ayant pu amener cette personne dans cette situation sont encore parcellaires voire contradictoires.

LA UNE DU 19 JUILLET 2022

Publié le lundi, 18 juillet 2022

La une du 18 juillet 2022

Publié le dimanche, 17 juillet 2022

Au four et au moulin (II)

Publié le dimanche, 17 juillet 2022

Nous revenons à la charge !
Le 18 juin 2019, la première année de mandat du régime Orange, l’occasion nous a déjà été donnée de livrer à travers cette colonne l’intitulé « Au four et moulin ». Un édito qui a suscité une réaction quelque part là-haut sur la colline.
Rappel. Au cours de son discours d’investiture le 19 janvier 2019 à Mahamasina, le Président de la République Rajoelina Andry, nouvellement et fraichement investi, déclara sans ambages et sans appel que « tout est urgent » à Madagasikara. Il se donne à partir de ce jour, 19 juin 2019, pour objectif majeur et urgent de « sauver les concitoyens ». Dans le monde politique notamment à Madagasikara, il y a des hommes de parole et des hommes de paille. Les premiers parlent et concrétisent. Tandis que les seconds parlent et parlent sans actes concrets. Rajoelina Andry, l’homme de parole, accompagné de son épouse Mialy Rajoelina, dans la plupart des cas, sillonne monts et vallées, du nord au sud, d’est en ouest, pour s’enquérir des faits et réalités des conditions de vie de son peuple. Il discute, avec les responsables locaux et les techniciens sur place, le contour des problèmes et voir ensemble les éventuelles solutions. En fait, il traduit en actes les promesses et les travaux d’urgence annoncés dans les XIII points de Velirano, eux-mêmes tirés du plan global contenu dans l’Initiative pour l’émergence de Madagasikara (IEM). On constatait, à l’époque, que nombre des membres du Gouvernement n’arrivèrent pas à suivre le rythme du Président. Apparemment, ils se contentèrent à se cloitrer dans leurs bureaux.
Et nous revenons à la charge !
Quatre ans après, enfin presque, le même scénario reprend sinon persiste. Rajoelina Andry parcourt monts et vallées, d’une Région à l’autre, d’un secteur à un autre, pour tenter de dénouer les problèmes, pour décrisper certaine crise, etc. Souvent, il fonce sur des terrains minés pour désamorcer. Il se démène à gauche et à droite !
Pour dénouer la crise qui perdure à la sucrerie d’Ambilobe, le Chef de l’Etat Rajoelina Andry se rendit en personne sur place. Pour le cas du prix des carburants, le Président en personne dirige les débats dans tous ses états. Ibidem pour le cas des tickets de taxi-be. Il se soucie en personne de la grève du personnel du MAE et envoie ses proches collaborateurs sur place afin de tenter à apaiser la tension. Il n’est pas non plus indifférent au remous qui agite la JIRAMA sous la houlette de l’intersyndicale. Très affecté par la tourmente des usagers à cause des défaillances, délestages et coupures intempestives de la JIRAMA, le Président de la République se décida de prendre en main la situation. Il va convoquer les agents de la compagnie nationale pour discuter ensemble des voies et les moyens pour en sortir et tout débloquer.
Plus d’un se demande où sont les membres du Gouvernement. Mis à part le Premier ministre Ntsay Christian qui suit le rythme de son chef. A deux, ils forment un tandem efficace. Mais le reste, du moins dans la majorité des cas, peine à suivre le mouvement.
Résultat, le Chef de l’Etat doit s’occuper du four et vérifier en même le fonctionnement du moulin.
Ndrianaivo


En baisse. Le nombre de candidats en lice pour la session 2022 du baccalauréat a légèrement diminué par rapport à celui de l’année dernière. En fait, 192.435 candidats passeront leur premier examen universitaire à partir de ce jour, contre 196.474 inscrits en 2021, soit une baisse d’environ 2 %. Cette réduction est conséquente pour la Province d’Antananarivo, avec 3.940 candidats en moins par rapport à l’année dernière. Toutefois, les Provinces de Toamasina et de Toliara enregistrent une légère hausse des effectifs, avec respectivement 768 et 1.440 candidats de plus par rapport à ceux de l’année dernière. Parmi ces inscrits, 11.631 passeront leur baccalauréat technique, professionnel et technologique.

Les candidats seront répartis dans 413 centres d’examen dans toute l’île, dont 168 à Antananarivo qui enregistre le plus de candidats. Comme d’habitude, la série A2 note le plus de candidats inscrits, soit 6 sur 10. Les séries scientifiques recensent moins de candidats, y compris l’ « Organisation, société, économie » (OSE) avec 6.253 inscrits. Pourtant, de nombreux projets et activités ont été entrepris ces dernières années pour la promotion des matières scientifiques. Ceci notamment en mettant en exergue les multiples opportunités, dont celles liées au développement du numérique. La plupart des élèves préfèrent les matières littéraires.
Faut-il rappeler que les épreuves commenceront ce jour jusqu’à vendredi prochain pour les candidats de l’enseignement général, avec la première partie pour ceux de l’enseignement technique. Ces derniers s’attaqueront à la deuxième partie de la session, du 25 au 28 juillet prochain. La Direction des examens nationaux pour Antananarivo ainsi que celle de l’Office du baccalauréat pour les autres Provinces étaient ouvertes aux candidats qui ont eu des problèmes, entre autres ceux relatifs à leurs convocations. Celles-ci auraient dû être reçues par les candidats depuis la semaine dernière. Des parents ont négocié avec les responsables d’établissement pour éviter la rétention des convocations, faute de paiement des écolages.
Patricia Ramavonirina



 Le ministre des Transports, Rolland Ranjatoelina s'applique à pratiquer le mutisme médiatique avec une rigueur absolue. Depuis l'annonce de la hausse des piètres prestations de certains coopératives de taxi-be de la Capitale, en milieu de semaine dernière, il ne s'est pas exprimé une seule fois publiquement, ni à la radio, ni à la télévision, ni dans aucun média écrit. Que son "entourage" ait fait connaître quelques-unes de ses réflexions est une chose. Mais un ministre, surtout des Transports, ne peut laisser croire qu'il n'a rien à dire en période de crise, sauf à accepter de disparaître totalement du paysage. Non que l'expression d'un ministre soit indispensable. Mais trop, c'est trop. La dernière fois qu'on a pu voir publiquement le ministre Rolland Ranjatoelina, c'était, sauf erreur, à l'issue des consultations organisées par la Présidence puis sur la télévision nationale pour expliquer la décision de fixer le tarif à 600 ariary. Ce qui est bien, mais peu. D'autant plus que depuis cette dernière apparition, plus rien. Actuellement, certaines coopératives de transport publiques de la Capitale ont fait fi de la décision commune prise avec les autorités étatiques à l'issue des consultations et fixent unilatéralement un tarif de 800 ariary pour leur trajet. Un tarif exorbitant pour la quasi-totalité des usagers de ces transports en commun.
L'expression publique de l'homme politique en charge des Transports n'est pas sans importance.  Vis-à-vis des centaines de milliers de personnes qui utilisent les transports en commun, la parole du ministre est un gage que leur voix est entendue au niveau du Gouvernement et donc au plus haut niveau. Le ministre s'exposant sur la scène publique illustre aussi sa capacité d'influence auprès du chef du Gouvernement et surtout du Chef de l'Etat. Dans notre société médiatique, un politique existe aussi par le verbe, et le silence n'est pas nécessairement signe de sagesse. Tout ce qui est silencieux n'est pas d'or, pour reprendre une expression malagasy. Il peut aussi faire craindre la vacuité. Mais dans la bouche de l'actuel ministre des Transports, rien ! Pas un mot... depuis que ces coopératives ont décidé de faire comme bon leur semble au mépris d'une décision commune et de l'intérêt de la majorité. Pourtant, le même ministre était prompt à s'adresser à la presse lorsqu'il s'agissait de régler ses comptes avec Rinah Rakotomanga.  Ceci étant dit, il faut souligner qu'il était normal que le Président s'exprime sur la hausse des tarifs de taxi-be le premier. Mais le ministre des Transports aurait dû suivre et faire appliquer la décision annoncée par son supérieur.  Le ministre n'est pourtant pas le patron d'un département ministériel quelconque : il doit tenir son rang, montrer aux contribuables qu'il a du poids, et au pays qui ne le connaît pas qu'il tient son ministère d'une main ferme. D'autant plus quand la situation l'exige !
La rédaction

Fil infos

  • Soins de proximité - De nouveaux bénéficiaires à Fianarantsoa
  • Développement - Le Président veut enclencher la vitesse supérieure 
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Réhabilitation de la RN7 - Le Président annonce des travaux imminents
  • Regards croisés sur la corruption à l'aéroport d’Ivato - Douanes et Sécurité publique s'expriment
  • ACTU-BREVES
  • Réinspection du Stade Barea - La non-homologation du stade confirmée
  • Actu-brèves
  • ACTU-BREVES

La Une

Recherche par date

« May 2024 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
Pub droite 1

Editorial

  • Fidèle engagement
    La lutte continue ! Mialy Rajoelina, la Première dame, ne lâche point. Fidèle à son engagement dans la lutte pour le bien-être de la famille, l’épouse du Président accepte volontiers d’être la marraine de la campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite, première vague, qui s’est tenue du 14 au 17 mai dans tout Madagasikara.

A bout portant

AutoDiff