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Abominable !

Publié le lundi, 14 novembre 2022

Naina Andriantsitohaina, maire d’Antananarivo, la Capitale, fut la cible d’une attaque armée dimanche dernier. Selon les dires de la victime elle-même postés sur les réseaux sociaux, les fauteurs d’attentat visaient sa personne physique elle-même.
Toute tentative d’attentat contre la vie d’une personne ou des personnes est un acte criminel abominable, inacceptable et impardonnable. Sur le plan général, tout acte visant à ôter la vie, tout court, est inadmissible et réprimé d’une extrême sévérité par la loi.
De la vie végétale à la vie animale pour aboutir à la vie humaine représente un ensemble précieux dans la sauvegarde de la Nature. Toute volonté d’abattre un arbre ou de brûler la forêt ou n’importe quelle végétation, toute volonté délibérée de mettre fin à la vie d’un animal faisant l’objet d’une protection particulière autrement tout braconnage et toute intention à attenter à la vie d’un homme ou des hommes, et les femmes, constituent un crime formellement puni par la loi. Un acte passible de lourdes peines ! Justement sur ce, en parlant des humains, la Déclaration universelle des droits de l’homme place le « droit à la vie » parmi les tout premiers articles : « Tout individu a droit à la vie ».
Le maire de la Ville des Mille, Naina Andriantsitohaina, est une des figures de proue du régime Orange de Rajoelina Andry. Une des élites promises à un avenir certain au sein de l’IRD et de la Nation. De toute façon, le poste de premier magistrat de la Capitale fait l’objet de convoitise au même titre que celui du chef de Gouvernement ainsi que d’autres éminents postes comme ceux des Chefs d’Institution. Des postes stratégiques pour atteindre le sommet de l’Etat. A Madagasikara ou ailleurs, être maire de la Capitale offre en soi une aubaine politique pour se faire catapulter au sommet, au Palais d’Etat d’Iavoloha ou de l’Elysée. Les Jacques Chirac, Marc Ravalomanana ou Rajoelina Andry en sont témoins.
Naina Andriantsitohaina n’en est pas à sa première mésaventure. En 2017, alors qu’il était un opérateur économique bien en vue, président d’une banque de renom de la Capitale, son fils âgé de 17 ans, à l’époque des faits, fut victime d’un rapt. On se demande pourquoi s’acharne-t-on sur cette personnalité d’avenir qui, justement, quatre ans après, devient le maire de la Capitale.
D’aucuns n’ignorent que Naina est l’une des personnalités parmi les plus proches ou de confiance du Président Rajoelina. Raison pour laquelle donc il a été choisi entre plusieurs prétendants à occuper le poste hautement stratégique de premier magistrat de la Ville des Mille.
La question qu’il faille trouver d’une réponse claire : « à qui profite le crime ? ». Ensuite, s’agit-il d’un crime politique ou d’un crime isolé se référant à un règlement de compte ? Evidemment, les résultats des enquêtes donneront les éclairages nécessaires.
A un an des échéances électorales, la tentative d’assassinat de Naina Andriantsitohaina annoncerait-il le climat délétère qui prévaudrait en ce moment précis. En tout cas, il y aura une bataille sans merci ! Les placages par derrière, les coups bas sinon les directs s’inviteront à la mêlée. Le ton est donné ! La couleur annoncée !
Quels qu’en soient les motifs avancés, un attentat à la vie est toujours atroce, cruel  voire abominable.

Ndrianaivo



Le nombre de personnes ayant subi des accidents dans l’accomplissement de leur fonction n’a atteint que 2.000 cette année, selon les statistiques réalisées par la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNaPS). Cependant, par rapport au nombre total des travailleurs, ces chiffres sont infimes.
Le directeur général du Travail et des Lois sociales, Hanitra Razakaboana a ainsi affirmé avec désarroi que « il y a encore beaucoup d’entreprises et d’employeurs qui ne déclarent pas les accidents de leurs employés. Afin de garantir un emploi décent et sécurisé, le ministère va mettre en œuvre son plan stratégique global de l’inspection du travail malagasy dans huit Régions, notamment Analamanga, Boeny, Menabe, Vakinankaratra, Atsimo-Atsinana, Matsiatra-Ambony, Anôsy et SAVA. Ce plan concernera cinq principaux secteurs dont le textile, le bâtiment et travaux publics, le commerce, l’exploitation du mica et la vanille.
Il faut aussi noter que beaucoup d’employés ne jouissent pas d’un minimum de conditions décentes de travail. Dans de nombreux Districts, l’Inspection du travail n’a pas non plus de représentants et ce sont les autorités locales qui sont chargées de régler les conflits, à savoir le chef du District ou le préfet. Débordées par les doléances, ces deux entités ne vont pas satisfaire totalement les plaignants. Par conséquent, des antennes de l’inspection seront mises en places dans ces localités.
Le Plan stratégique global de l’inspection du travail malagasy (PSGITM) servira entre autres à améliorer le quotidien des salariés. D’abord, le projet va d’un côté sensibiliser les patrons à se mettre dans la légalité et respecter les droits de leur personnel. Et d’un autre côté, il s’agit de faire connaître aux employés leurs droits afin qu’ils puissent travailler sereinement. Les sanctions ne viendront que plus tard.
« Ce plan sera exécuté en trois étapes qui dureront jusqu’au mois de novembre 2023. Dans un premier temps, il sera axé sur la collaboration étroite du ministère avec les dirigeants et les délégués du personnel afin de faire savoir les bonnes marches à suivre et de régler les différends entre eux. Puis, après un certain temps, une deuxième visite servira de contrôle pour constater si des changements ont été bien réalisés. Et enfin, des contre-visites complèteront le processus », a expliqué le secrétariat général.
Pour rappel, l’Inspection du travail malagasy, avec l’appui du projet « Fonds Vision Zéro » (VZF) de l’Organisation internationale du travail (OIT) et l’espace de coworking inclusif « InWork », a déjà pu élaborer et mettre en œuvre deux plans stratégiques sur la conformité des lieux de travail et la formalisation des emplois informels dans les entreprises de 2020 à 2022. Les résultats obtenus sont probants. Riche et ayant acquis les expériences grâce à ces deux plans stratégiques intermédiaires, l’Inspection du travail malagasy a pu atteindre les objectifs de conformité définis par les orientations nationales.
L’OIT soutient cette initiative qui entre également en accord avec le plan stratégique pour la conformité de cet organisme international. Avoir des employés bien traités et respectés profite largement aux patrons dans le contexte du monde du travail actuel. En effet, la réputation d’une entreprise en matière de condition humaine est très importante pour le choix des partenaires.
Selon Coffi Agossou, directeur du Bureau de pays de l’OIT pour Madagascar, « afin d’arriver à instaurer le travail décent et atteindre des résultats significatifs, il faut une adhésion totale de toutes les parties. Le but de ce plan, c’est aussi de permettre aux entreprises d’avoir une visibilité avec une bonne réputation et de belles performances en traitant mieux leurs employés. Toutes les grandes entreprises savent qu’actuellement, le fait de protéger la vie des travailleurs et d’assurer l’application des normes du travail est bénéfique pour l’accès aux marchés ».
Nikki Razaf


Dans un communiqué en date du 10 novembre 2022, la section malgache de Transparency International - Initiative Madagascar évoque l'existence d'une prétendue mainmise sur les exportations du litchi de Madagascar. Une sortie à charge qui interroge surtout dans un contexte où la filière éprouve des difficultés à prendre son envol. En effet, la  communication du  TI-IM semble aller à sens unique. L'ONG ne prend pas en compte la volonté affichée du GEL (Groupement des exportateurs de litchis) de collaborer et d’apporter des éléments de réponse et explications nécessaires à l’éclaircissement par rapport à cette filière. Il faut par ailleurs souligner que le GEL n'a jamais empêché qui que ce soit d’exporter du litchi de Madagascar. Le groupement demande, cependant, le respect des règles du jeu. Il revendique notamment la nécessité du respect des textes réglementaires, la mise en conformité aux exigences de la profession tout comme les autres membres du groupement.
L'ONG TI-IM semble jouer le rôle de l’Opposition dans ses communications. Une opposition dont il reprend d'ailleurs les arguments. Notamment ceux d'un député, opposant politique au régime actuel, qui crie haut et fort que la filière est soi-disant contrôlée par quelques personnes. Le TI-IM se fait la caisse de résonance de cet individu  qui, après avoir vendu sa société opérant dans le domaine de l’exportation de litchi ainsi que son quota d’exportation, avant les élections en 2018, fait aujourd’hui des pieds et des mains pour revenir dans le circuit jusqu’à dénoncer un monopole. Des allégations qui avaient fait l’objet d’un désaveu public de la part d’un ami à lui, également député et surtout membre du Groupement des exportateurs de litchis (GEL)…
Pour être crédible, le TI-IM aurait dû commencer par des enquêtes en bonne et due forme. Des investigations auprès des réels acteurs concernés auraient été les bienvenus. Il faut le souligner, la filière litchi est une filière d’avenir pour l’économie nationale. Néanmoins, cette filière reste fragile en raison notamment de la conjoncture climatique mais également du respect des normes. Il est dommageable que les acquis soient remis en cause aujourd'hui. La campagne de dénigrement menée par TI-IM justement cause du tort à de nombreuses familles, des transporteurs, des collecteurs, des producteurs du secteur.
Notons par ailleurs cette promptitude du TI-IM  à réagir lorsqu’il s’agit des filières impliquant directement les opérateurs nationaux malagasy. Durant l'entre-deux-tours de la présidentielle de 2018, TI-IM avait déjà sorti une affaire soi-disant impliquant une haute personnalité sur un plateau de la télévision française. Des allégations à l'époque déjà sans preuves tangibles.

La Rédaction


Obsolète. Cela fait trois décennies qu’aucune modification n’a été apportée aux modalités portant sur la fiscalité immobilière au niveau de tous les Arrondissements de la Commune urbaine d’Antananarivo. Face à cette situation, les décideurs au sein de la CUA ont ainsi adopté de nouvelles dispositions afin de remettre la rentrée de recettes de la Commune au goût du jour. Une décision qui a eu du mal à passer auprès des contribuables depuis quelques jours à en croire les avis partagés qui fusent sur les réseaux sociaux. Si certains parlent d’augmentation de plus de 100% des taxes sur les habitations, d’autres pestent en rajoutant que les impôts qu’ils doivent, désormais, payés à la Commune représentent plus que la valeur de leurs biens. En effet, les modifications des responsables communales ont été principalement apportées sur la réévaluation des biens immobiliers. « Mes parents ont construit notre maison vers le début des années 90, à l’époque il n’y avait que le rez-de-chaussée qui comprenait en tout et pour tout deux chambres, notre salon ainsi que la cuisine avec les sanitaires. Entre-temps nous avons construit deux autres étages avec les mêmes configurations que le premier niveau. Pourtant, en 25 ans, pour notre maison à trois niveaux, nous n’avons toujours payé que la valeur fiscale déclarée pour la maison d’origine que mes parents ont bâtie en 1993. Aujourd’hui, avec les nouvelles dispositions et la réévaluation effectuées par les responsables communaux, nous sommes alors dans l’obligation de payer nos impôts en rapport avec notre maison de deux étages », explique un habitant du troisième Arrondissement.


Abattement


 Selon le porte-parole de la Mairie de la Capitale, « cela fait 30 ans que la dernière taxe d'habitation a été levée à Antananarivo et fait partie des efforts déployés par le maire d'Antananarivo pour la réformer maintenant. Les taxes font partie de la contribution de chacun au développement et à l'amélioration de la ville. Des travaux comme la construction d'infrastructures à Antananarivo, la Capitale, ne peuvent être réalisés ». Il a également déclaré que  « Au profit des contribuables aux revenus les plus faibles, il existe une réduction d'impôt pouvant atteindre jusqu'à 60%. Le Bureau municipal est ouvert aux résidents de la Capitale et à ceux qui ont besoin d'informations complémentaires sur les taxes ». Cependant, des mesures d’atténuation sont proposées aux contribuables à travers des possibilités d’abattement. Pour rappel, l’abattement fiscal est une réduction légale de la base d’imposition, c'est-à-dire de l'ensemble des revenus retenus par l'administration fiscale pour calculer le montant de l'impôt. Avec cette option, les propriétaires qui sont dans l’expectative peuvent ainsi se tourner vers une alternative plus acceptable. Plus précisément, si la valeur fiscale du bien est estimée par la Commune à moins de 100.000 ariary, le propriétaire aura juste à payer un forfait de 10.000 ariary, de même que pour un bien immobilier estimé à 200.000 ariary, le contribuable devra alors s’acquitter annuellement de la somme de 20.000 ariary. Soit un abattement à hauteur de 90%. Au-delà de 200.000 jusqu’à 500.000 ariary, le taux de l’abattement sera de l’ordre de 60%, jusqu’à 1.000.000 d’ariary, ce taux sera revu à 40%. A 3.000.000 d’ariary ce sera de l’ordre de 20% et pour plus de 5.000.000 ariary, le taux d’abattement reviendra à 5%.

La Rédaction

Urbanisme - Les lourdes procédures freinent !

Publié le lundi, 14 novembre 2022



Des allers-retours auprès de divers services pour un dossier. Bon nombre de ménages qui projettent de construire des maisons à Antananarivo font face à ce tracas. Ceci d’autant plus que l’obtention d’un permis de construire requiert différentes pièces. L’alignement, la prescription d’urbanisme, le certificat de situation juridique, la demande proprement dite ou encore le plan d’architecture en font partie. Outre la méconnaissance du plan d’urbanisme, la lourdeur administrative et les procédures compliquées freinent les citadins. Et pour preuve, seule une construction sur quatre suit les normes requises. Autrement dit, « 60 à 70 % des constructions à Antananarivo demeurent non réglementaires et/ou illicites. Certaines d’entre elles disposent de permis de construire, mais ne suivent pas les normes imposées », confirme Tiana Randrianasoloarimina, directeur général de l’aménagement du territoire auprès du ministère de tutelle.
Pourtant, 30 à 33 % de la population des grandes villes malagasy habitent dans l’agglomération d’Antananarivo. Cette situation favorise la vulnérabilité des habitants, lesquels endurent entre autres les inondations ou les risques d’effondrement. D’ailleurs, certains continuent à bâtir leurs habitations dans les zones non constructibles, à l’exemple d’Ambatomaro, Ambanidia, Ambanin’Ampamarinana, etc.
Une campagne pour le grand Tanà
Alléger les procédures d’urbanisme. Cela pourra se concrétiser bientôt, avec la digitalisation des autorisations de construire via l’application web baptisé « MATAC ». Ce dernier sera opérationnel à partir de l’année prochaine, permettant l’informatisation de la gestion et le traitement en ligne des dossiers de permis de construire. Sa conception résulte du partenariat entre le ministère de l’Aménagement du territoire et des Services fonciers (MATSF) et le Projet de développement urbain intégré et de résilience du grand Antananarivo (PRODUIR).
Cet allègement des procédures figure également parmi les objectifs fixés pour la campagne d’urbanisme pour le grand Tanà, laquelle va se faire très prochainement. Cette campagne vise à sensibiliser les citadins sur les normes requises, les avantages de la mise en œuvre du plan d’urbanisme ou encore la vulgarisation des lois et la présentation des textes d’application. Pour ce faire, des affiches sur les procédures d’urbanisme seront affichées au niveau des 38 Communes de l’agglomération d’Antananarivo ainsi qu’auprès du Service régional de l’aménagement du territoire. Les médias contribueront également à cette campagne s’étalant sur 2 mois ou plus. En fait, des spots TV et radios transmettant les messages clés quant aux avantages du respect des procédures d’urbanisme seront diffusés. A cela s’ajoute un film court de 6 mn, présentant les procédures, les effets néfastes de leur non-respect, etc. Une chanson de sensibilisation interprétée par l’artiste Bolo servira d’appui. La campagne cible non seulement les citadins mais également les autorités compétentes, y compris les responsables des Communes et Districts, ainsi que les professionnels de l’urbanisme…
Patricia Ramavonirina

LA UNE DU 14 NOVEMBRE 2022

Publié le dimanche, 13 novembre 2022

Une minorité des travailleurs concernée. Le travail décent fait encore défaut à Madagascar. Bon nombre de salariés ne jouissent pas de leurs droits, dont la santé et la sécurité au travail ou encore la prévoyance sociale. Pour ce dernier volet, moins de 20 % des travailleurs en sont couverts. Les paysans producteurs en sont privés alors qu’ils constituent la majorité, ce qui explique le faible accès à un travail décent.

Une grande première à Madagascar. L'organisation internationale du travail (OIT), à travers ses 4 projets phares, organisera le premier « Business Forum » sur le travail décent à Madagascar, ce 10 et 11 novembre à Alarobia. Une occasion d'aborder les opportunités et les défis pour les chaînes d'approvisionnement malagasy du point de vue des enjeux de travail décent ainsi que de la gouvernance sociale et environnementale.

Depuis quelques semaines, le nombre de nouveaux cas de coronavirus recensés dans la Région d’Analamanga est de nouveau sur l’ascendant. En effet, après les 29 cas enregistrés la semaine précédente, cette fois-ci la Région compte 59 personnes présentant la maladie parmi les 71 nouveaux cas. Le nombre de patients présentant la forme grave de la maladie a aussi évolué. Il est actuellement à trois individus. Les autres Régions qui ont recensés des cas confirmés à la Covid-19 sont l’Atsinanana avec 4 cas et Vakinankaratra où 3 personnes ont été testées positives. Les Régions d’Itasy, Diana, Alaotra-Mangoro, Boeny et Androy ont chacune un nouveau cas confirmé.

Sine die par silence !

Publié le dimanche, 13 novembre 2022

Aux oubliettes ou classé dans les tiroirs ! Tel serait le sort attribué aux îles Eparses. D’après le calendrier établi conjointement par Paris et Antananarivo, le second round relatif à la négociation devant sceller l’avenir des îles Eparses devait avoir lieu dans le courant du mois d’octobre à Paris. Mais, le dit mois s’est écoulé sans qu’il y ait « quelque chose » de ce genre à moins que les deux délégations se réunissent dans la discrétion totale, à l’abri des oreilles et yeux indiscrets ! Vu le penchant pour le « m’as-tu vu » presque généralisé, il est fort probable sinon formel qu’aucune rencontre n’ait eu lieu. Et le « débat » est renvoyé aux calendes grecques voire sine die par silence !

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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