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Les bacs à ordures commencent à déborder dans plusieurs quartiers de la Capitale. Et la cartographie de la gestion des ordures, réalisée par la Société municipale d’assainissement (SMA), en témoigne. La plupart des bacs à ordures sont de couleur rouge, c’est-à-dire trop pleins par rapport à leur capacité. D’après une explication au sein de la SMA, les travaux avancent et tous les problèmes sont déjà réglés au niveau de ce département. L’amoncellement est normal en cette saison d’été. La pluie et la saison des fruits en sont les principales causes. En temps normal, les déchets ménagers jetés dans les bacs pèsent environ 700 tonnes par jour, tandis qu’ils sont doublés ou même triplés durant les mois de novembre et décembre. 

Refonder ?

Publié le mardi, 15 novembre 2022

« Refondation » ! C’est la dernière trouvaille que la bande à Alain Andriamiseza vient de présenter sur le plateau. Il faut bien inventer et réinventer quelque chose pour amuser la galerie. L’opinion commence à se lasser de la puérilité et des enfantillages des leaders politiques notamment ceux évoluant dans l’orbite de l’Opposition. En effet, l’entêtement comme celui d’un enfant gâté nuit à l’image des cadors du RMDM aux yeux de simples citoyens.

Vanille - La campagne 2022-2023 est bien lancée

Publié le mardi, 15 novembre 2022

Le ministre de l’Economie et des Finances, Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison et le ministre de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation, Edgard Razafindravahy ont rencontré, la semaine dernière, à Antalaha, les 70 exportateurs agréés de vanille afin de préparer l'ouverture de la campagne d'exportation de 2022-23 qui a été fixée pour aujourd’hui. Cette rencontre a été pour les deux membres du Gouvernement de préciser le soutien de l'Etat malagasy et l'accompagnement des opérateurs dans ce secteur, aussi bien producteurs qu'exportateurs.

Dans l’univers musical malagasy, il existe une multitude de talents tout aussi particuliers les uns que les autres. Parmi les pépites qui évoluent actuellement figure Tiana Prisca. Agée tout juste de 20 ans, cette jeune chanteuse pourrait être la nouvelle voix de la musique Pop, RnB et l’afrobeat et à qui il faudra compter. Et oui, elle fait partie des nouvelles étoiles montantes de la musique. Après une longue attente et de préparation, Tiana Prisca va enfin monter sur scène pour faire découvrir ses œuvres. Ainsi, elle peaufine un concert en « live » acoustique qui se tiendra le samedi 10 décembre à 18h chez Levels Resto-Lounge à Nanisana. 

L’enquête sur l’affaire de la tragédie d’Ikongo est entre les mains de la Justice. C’est ce qu’affirme le secrétaire d’Etat auprès du ministère de la Défense nationale en charge de la Gendarmerie. Au cours d’une séance plénière hier à Tsimbazaza, le Général Serge Gellé a annoncé en effet que la partie du travail de la Gendarmerie nationale est arrivée à son terme, après le bouclage du rapport d’enquête sur cette affaire. « Le dossier a été transmis à la Justice hier (lundi, ndlr) », indique le SEG. Le rapport « volumineux » reconstitue « ce qui s’est passé sur place », rajoute-t-il.

L’ONG Transparency international a –t-elle dépassé les bornes en alléguant des faits criminels dans la  filière litchi. Narson Rafidimanana, un des membres du Groupement des exportateurs de litchi  (GEL) contre-attaque en accordant un entretien à une consœur de la RFI. Il a martelé que son groupement joue la transparence et prêt à donner des informations à quiconque. 


Situation à la fois incroyable et terrifiante ! La foudre a frappé au petit matin, hier, la petite localité située en hauteur d’Ampisavankaratra, Commune de Tsiafabositra, District de Maevatanàna. Un orage éclate accompagné par une explosion de tonnerre. Evidemment, la foudre a frappé, non une zone éloignée, mais plutôt celle d’un réseau d’habitations.Trois d’entre celles ont été alors ravagées par les flammes. La boule de feu venant du ciel était venue alors attaquer avec une puissance impressionnante une maison dans laquelle se trouvaient les 6 membres, complètement surpris, d’une petite famille. Les malheureux ont alors reçu, chacun, une décharge, l’équivalent de plusieurs milliers de volts, et seraient tués sur le coup,  complètement piégés par leur propre maison. En dehors du fracas apocalyptique, le phénomène a immédiatement déclenché un incendie. D’où l’ampleur des dégâts. Quant aux victimes, Il s’agit donc du couple, mais aussi ses 4 enfants dont l’aîné n’a que 15 ans. « Les victimes sont devenues méconnaissables car elles furent atrocement brûlées », explique chef Jean-Louis, l’officier de Gendarmerie qui a fait un constat sur le terrain.  
Mais comme il ventait aussi quelques moments avant que la pluie ne tombe, cette situation a rapidement déplacé les flammes vers deux maisons voisines de celle des victimes. A leur tour, ces habitations ont également pris feu. Mais à la différence de la première, leurs locataires ont pu s’en sortir miraculeusement indemnes. Ils ont eu le temps d’évacuer in extremis les lieux lorsque l’incendie a éclaté. Depuis, les dépouilles des victimes ont été confiées à leurs familles. D’après la Gendarmerie, la foudre fait souvent des victimes en cette période de l’année. Mais aucune n’a été si meurtrière que celle qui venait de décimer les membres de cette petite famille d’Ampisavankaratra. En outre, le fait que ce groupe de maisons occupe une petite colline, l’expose à ce genre de risque  lors des intempéries. Sur place, la vague de chaleur associée à une période anormalement longue de sécheresse, changement climatique oblique, explique ces perturbations, voire le déchainement des éléments à une heure si indue du début de matinée alors qu’on a naturellement souvent l’habitude de voir les orages que dans l’après-midi.
Franck R.

La une du 15 novembre 2022

Publié le lundi, 14 novembre 2022


Un programme consacré uniquement à l’humour. Après une longue année d’attente, le festival du rire « Jôkôsô » arrive enfin à sa deuxième édition. Actuellement, les organisateurs peaufinent les dernières préparations du festival qui durera 4 jours. Il est programmé du 17 au 20 novembre. Vu le succès de la première édition, l’événement s’annonce déjà cocasse et promet d’être convivial. Cette fois-ci, plus de cinq spectacles seront offerts par une brochette de comédiens dans quatre différents endroits de la Capitale tels que le centre IKM (« Ivon-toeran’ny kolontsaina malagasy ») à Antsahavola, l’Alliance française à Andavamamba, Kudéta Urban Club à Anosy et Madagascar Underground à Antsahavola. De grosses pointures spécialisées dans le domaine humoristique sont attendues lors de cet évènement, mais aussi des talents en devenir. Pour la première journée de lancement, l’animation sera assurée par Finengo Mahasaky, Godar, Eric & Honorat (Fou Hehy), Tsiresy, Etsetra Etsetra et d’autres jeunes humoristes en herbe. A en déduire que les programmateurs ont concocté une affiche alléchante où les poids lourds de l’humour vont côtoyer les nouveaux talents. En tout, plus d’une vingtaine d’artistes animeront cette deuxième édition. Pour ceux qui désirent approfondir leur talent d’humoriste, les organisateurs ont également prévu des ateliers. Il y aura également une scène ouverte pour ceux qui veulent prendre part au spectacle.
Vitrine
Il s’avère que les spectacles humoristiques sont encore rares à Madagascar. A l’heure actuelle, peu d’évènements organisés dans le pays font appel aux comédiens. Ainsi,  il n’existe que des rares manifestations qui se consacrent à la promotion des jeunes humoristes ayant du talent. Peu d’endroits sont conçus pour les encadrer. Néanmoins, le Festival du rire « Jôkôsô », l’évènement « Sokaf’Hehy » ou encore « Men in Blague » initié  par le collectif Gasy Stand Uppers sont des opportunités pour que les jeunes humoristes puissent se développer et montrer leur savoir-faire devant le public. Les personnes qui ont eu la chance d’assister aux spectacles de la précédente édition savent que « Jôkôsô festival du rire » est un moment de pur plaisir et de rigolade assuré par des humoristes talentueux. Les thèmes abordés concernent des sujets du quotidien, traités avec beaucoup d’humour et de courtoisie. A noter que l’entrée aux spectacles est gratuite. Pour ceux qui désirent obtenir d’autres renseignements sur le programme, ils peuvent consulter la page Facebook de Sandix et Gasy Stand Uppers.
Sitraka Rakotobe


Henri Roger, le grand homme s’en est allé. C’est la triste nouvelle partagée hier dans la matinée dans le cercle du milieu sportif, surtout celui de l’athlétisme. Le nom d’Henri Roger est effectivement le synonyme de la renaissance de la discipline de base de la Grande île.
Dix ans à la tête de la Fédération nationale, Henri Roger y a laissé ses empreintes en réalisant un parcours sans faute marqué par la course de renouveau, une de ses trouvailles, comme le marathon international de Tanà, pour relancer l’athlétisme malagasy, en léthargie. Durant ses mandats, les athlètes locaux rayonnaient non seulement au niveau de la région de l’océan Indien mais également sur le continent africain. L’athlétisme malagasy trustait la première place aux Jeux des îles de l’océan Indien tout comme les athlètes qui, à titre individuel, brillaient dans les championnats d’Afrique. Mieux, c’est à son époque que des athlètes malagasy se qualifient aux Jeux olympiques, non pas grâce au « wild card », mais à leur chrono ou leur performance sur terrain. Il n’est pas étonnant que ses pairs dans le milieu sportif l’aient choisi pour présider le Comité olympique malagasy (COM). C’était l’ère où les sportifs malagasy, toutes disciplines confondues, faisaient la fierté de la Nation. « C’est grâce à lui que l’athlétisme national a atteint le haut niveau et que des athlètes ont fait une carrière », témoigne Rosa Rakotozafy, très affectée par la disparition de celui qu’elle considère comme un père.
La notoriété d’Henri Roger a dépassé les frontières malagasy. A preuve, jusqu’à l’heure actuelle, il est le seul malagasy à avoir présidé le Conseil international des Jeux des îles de l’océan indien (CIJ) de 1995 à 2003.
Ancien haut cadre de la compagnie aérienne malagasy (Air Madagascar), Henri Roger a su allier ses talents de négociateur pour que l’athlétisme local atteigne sa vitesse de croisière.
A toute sa famille, la rédaction sportive du journal La Vérité présente ses sincères condoléances.
Rata


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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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