Publié dans Editorial

Un leader authentique

Publié le vendredi, 28 janvier 2022

« A quelque chose malheur est bon ! » Une ancienne expression qui tient route encore et toujours.
Les moments durs que la Nation traverse, en ces temps-ci, fait apparaître par la force des choses une qualité indiscutable d’un Chef. Rajoelina Andry, car il s’agit de lui, a su faire valoir à travers ses efforts personnels la qualité d’un vrai leader autrement dit authentique.
Responsable. Un vrai responsable se distingue par le souci permanent de rendre service au groupe ou à la communauté. Toujours conscient de la responsabilité qu’il doit assumer, le leader authentique se tient à tout moment prêt ou disponible pour affronter les obstacles quel que soit leur nature. Après le passage du cyclone « Ana », le pays  se trouve dans une très mauvaise passe. Le Président de la République Rajoelina Andry,  le leader de la Nation, se lève immédiatement et assure pleinement sa responsabilité en sa qualité de Chef de l’Etat, Raiamandreny de la Nation. La prise de conscience sur la responsabilité à tous les niveaux du pouvoir est une condition sine qua non pour la réussite d’un pays. Malheur à une Nation quand les décideurs élus et nommés traînent les pieds pour prendre leurs responsabilités face à une situation de crise donnée. Même dans une situation jugée normale, le caractère responsable des dirigeants relève toujours d’une nécessité. Le pays souffre de la négligence des tenants de pouvoir irresponsables. En fait, la pauvreté qui sévit dans les pays en développement découle de l’ineptie des hommes et des femmes à qui la responsabilité de la Direction des affaires de l’Etat a été confiée.
Modèle de dévouement et d’abnégation. Inlassable et inépuisable, Rajoelina parcourt le pays et encourage les concitoyens plongés voire coincés dans l’adversité. Les paroles de soutien de la part d’un Raiamandreny dévoué pour la cause de ses « enfants » vont droit au cœur. « L’exemple vient d’en haut » dit-on ! En effet, le locataire d’Iavoloha donne un exemple vivant de ce que doit être un chef ou un leader vis-à-vis des membres de la communauté sinon du pays. Le dévouement et l’abnégation sont des critères non indissociables pour qualifier un leader authentique. Il est à déplorer de devoir constater certains leaders qui se conduisent en mauvais exemples devant les administrés. Censé être un modèle dans la conduite des affaires nationales, tout leader élu ou nommé est tenu d’afficher un comportement irréprochable. Quand les dirigeants dévient de la conduite exemplaire digne des leaders authentiques, le peuple s’égare et perd le Nord. Les jeunes n’ont plus de repère et agissent en sujets errants.
Leader confirmé. Les différentes épreuves  anodines ou propres à tordre le cou s’avèrent utiles pour confronter ou bien pour confirmer les compétences des chefs. Le passage réussi aux épreuves du feu contribue à murir les leaders. Parfois, les échecs conduisent à la victoire quand le dirigeant sait positiver la situation. Un fer trempé vaut deux fois plus résistant. Etre confirmé à son poste traduit un parcours jalonné d’écueils aboutissant au final à la réussite. Le Chef de l’Etat Rajoelina depuis l’époque de la Transition (2009-2014) a passé par toutes les étapes jusqu’au moment il a été plébiscité à la magistrature suprême par la voie des urnes. Un leader authentique !


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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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