La Commission électorale nationale indépendante (CENI) s’étoffe. Les membres en exercice, désormais anciens commissaires électoraux, qui arrivent en fin de mandat (6ans non renouvelables) plient bagages. Apparemment, c’est du calme plat. Mais, sous la table, on se bouscule au portillon. Compte-tenu du rôle crucial assuré par ladite commission dans le processus électoral, chaque entité habilitée à siéger à Alarobia, par le biais de ses représentants, n’entend pas prendre à la légère la désignation de son poulain respectif. Le régime en place, non plus, ne veut pas être en reste. Il place discrètement son ou ses pions. A la guerre comme…