Publié dans Economie

Echéance fiscale - Un prolongement en vue

Publié le mardi, 04 août 2020

A dix jours de la date butoir de l’échéance fiscale, les chefs d’entreprise sont encore en difficulté financière à cause du prolongement de l’état d’urgence sanitaire et du confinement. Les chiffres d’affaires étant en baisse, les charges fixes continuent d’augmenter. Pour alléger la trésorerie des entreprises, le Gouvernement envisage de prolonger l’échéance fiscale. « Nous avons entendu les demandes du secteur privé. Le Gouvernement prévoit déjà un report de l’échéance fiscale » annonce Rindra Rabarinirinarison, secrétaire générale auprès du ministère de l’Economie et des Finances durant son intervention télévisée, vendredi dernier.

D’après un responsable auprès de la direction générale des impôts, « aucune date officielle n’est encore connue jusqu’à ce jour. On attend les décisions y afférentes ». Rappelons que le Gouvernement a déjà reporté plusieurs fois cette échéance. L’annulation totale des impôts tels que l’impôt sur le revenu et l’impôt synthétique, comme réclame le secteur privé, s’avère impossible malgré le contexte de crise sanitaire. Ces taxes financent les recettes de l’Etat. En plus, elles se rapportent à la déclaration liée avec les chiffres d’affaires de l’année précédente et non celle de l’année en cours.

Solange Heriniaina

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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