Publié dans Culture

Week-end de Pâques - Diverses animations dans la Capitale

Publié le lundi, 18 avril 2022

Depuis vendredi soir, toute la ville d’Antananarivo était en fête. Tous les fêtards ont vécu au rythme endiablé des animations musicales. Dans un décor féérique, un air de vacances et de convivialité s’est plané sur la ville mais également dans toutes les autres Provinces de Madagascar. Que ce soit à Antsonjombe, Talatamaty, Ivato, Tanjombato, dans les rocades, sur les terrasses des restaurants ou encore dans les périphéries de la Capitale, de la musique et diverses animations ont résonné à l’occasion de la fête de Pâques. Et le public était partout.

Du côté d’Antsonjombe, lors du grand concert « Donan’ny samy ngeza », tout s'est très bien passé malgré quelques débordements à l’entrée, a indiqué un responsable souhaitant garder l'anonymat. Policiers et agents de la sécurité civile ont été présents sur les lieux durant tout le spectacle. De plus, ce concert a été considéré comme l’événement le plus attendu du lundi de Pâques. Par ailleurs, parallèlement aux nombreuses animations proposées dans les parages, le concert donné au site Bome à Ivato a également attiré beaucoup de spectateurs. L’affiche « Lundi de Pâques Bex Party » a été une réussite. La preuve, Wendy Cathalina, accompagnée de Black Nadia et ses compères de scène, ont réuni des milliers de spectateurs. Visiblement, il y en a eu pour tout le monde et pour tous les goûts.

D’ailleurs, Black Nadia est déjà apparue très en forme dans de nombreux concerts qui se sont tenus auparavant dans les périphéries de la Capitale. Personne n’est passé à côté de son nouveau tube « Masaka am-potony ». Dotée d’une très belle énergie, l’artiste a interprété tous ses tubes en « live » dans un stade plein à craquer. Elle avait pour mission de chauffer le public avant l’arrivée des artistes en tête d’affiche pour un set enflammé de plus de 45 minutes. Sans aucun doute, les morceaux qu’elle a proposés avec ses camarades de scène ont enthousiasmé le public. Ce dernier a tout de suite ressenti de l’aisance, tout en chantant et en dansant avec des rythmes entrainants. De leur côté, les artistes étaient en communion totale avec les spectateurs. Bref, cette fois-ci, les fêtards de la ville des mille ont été gâtés et bien servis.

Sitraka Rakotobe

 

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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