Economie

Mauvaise tournure. Alors que le ciel a commencé à s'éclaircir pour les opérateurs touristiques des différentes Régions de Madagascar depuis le dernier trimestre de l'année 2020, l'arrivée de la deuxième vague du coronavirus l'a de nouveau assombri, surtout à Mahajanga. Les opérateurs touristiques de la Région cumulent en effet les annulations depuis l'annonce faite par le Président de la République, Andry Rajoelina, samedi dernier, concernant la fermeture de Mahajanga depuis hier. « Toutes nos activités sont de nouveau au point mort actuellement.
Isolée. Les frontières de l’île au parfum sont de nouveau fermées au reste du monde, conformément à la décision de l’Etat annoncée par le Président Andry Rajoelina, samedi dernier. Une mesure difficile mais jugée nécessaire étant donné la remontée des nouveaux cas de coronavirus à Madagascar. Qui plus est, ladite décision a été prise suite à la confirmation de nouvelles contaminations au variant sud-africain de la Covid-19 à Nosy Be. La pilule est difficile à avaler pour les opérateurs touristiques qui ne peuvent, désormais, plus compter ni sur le tourisme national, ni sur le tourisme international.Joint au téléphone, hier, Sonny…
Situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles. Dimanche dernier, le Président de la République a annoncé la suspension pour quinze jours des liaisons internationales en partance mais aussi à destination de Nosy Be, et ce à partir de samedi prochain. Ces décisions ont été prises afin de prévenir de la propagation de la pandémie de coronavirus dans le pays. Toutefois, ces mesures prennent quand même certains voyageurs au dépourvu. Face à cette situation, la filiale domestique d’Air Madagascar en collaboration avec Ethiopian Airlines ont mis en place des vols spéciaux. « Deux vols ont alors été programmés par Tsaradia dont un pour jeudi…
Avancée technologique. Le câble METISS est enfin opérationnel, et ce depuis le 05 mars dernier. La Grande île bénéficie d’une troisième sortie internationale au niveau de Taolagnaro, à l’extrême sud-est du pays. Cette nouvelle infrastructure contribuera grandement à l’amélioration des services de télécommunications disponibles dans la région mais plus particulièrement dans la Grande île. Il offrira en effet des débits 24 fois plus supérieurs en comparaison avec ceux des câbles déjà existants dans la zone indianocéanique. Madagascar, par le biais de TELMA, est ainsi le plus gros investisseur du projet METISS, porté et financé par un consortium de six acteurs…
Une grande première. Le Président de la République, Andry Rajoelina a mis à nu les malversations des exportateurs d’or durant son intervention sur la chaîne de télévision nationale. Sur vingt-deux opérateurs ayant reçu l’autorisation, onze ont exporté de l’or au titre de l’année 2020. La majorité d’entre eux n’ont pas rapatrié leurs devises. Une des raisons pour lesquelles le Gouvernement a suspendu l’exportation en octobre dernier.

Célébration - Journée internationale de Norouz

Publié le vendredi, 19 mars 2021
On célèbre aujourd’hui la Journée internationale de Norouz. Cette année, cette fête d’origine iranienne a un caractère spécial puisque le calendrier quitte le 14ème siècle de l’Hégire solaire et rentre au quinzième siècle.
Un effort soutenu pour la bancarisation des Malagasy. Au cours des dernières années, la BNI Madagascar participe activement aux mutations socio-économiques de toutes les Régions du pays afin de favoriser l’inclusion financière pour tous.

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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