Publié dans Société

Appel à l’aide - Une jeune femme malagasy recherche sa mère biologique

Publié le dimanche, 27 janvier 2019

Appel d’une jeune fille malagasy qui a vécu en Suisse avec ses parents adoptifs. Rahantavololona Joséphine, 24 ans, née le 9 novembre 1994 à l'hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA) d'Antananarivo  recherche actuellement sa mère biologique dénommée Joséphine Telovavy, 46 ans.  Elle veut également savoir si elle a encore des demi-frères et sœurs à Madagascar. En effet, quelque temps  après sa naissance, elle a été adoptée   par un couple marié suivant  l’ordonnance du Tribunal du 14.8.1995. Son acte de naissance délivré dans le premier Arrondissement d’Antananarivo mentionne que cette personne recherchée, aurait dû vivre à Antsahamaina -Andafiavaratra. Les informations qu’elle a à ses  dispositions,  indiquent qu’après la mort de sa grand-mère Marie Jeanne à Ambolomadinika Toamasina, Joséphine Telovavy habitait dans la maison de son grand-père et de sa nouvelle grand-mère, dont l’adresse est inconnue. Pour diverses raisons, elle a déménagé à Antananarivo, dans l'espoir de trouver du travail.

Puisqu´elle n’a  disposé ni domicile, ni nourriture et quasiment aucun vêtement et de surcroit enceinte, une personne du nom de Randrianarisoa Marie-Louise l’a embauchée comme femme de ménage probablement à Ankadikely-llafy. Désespérée, Joséphine Telovavy a donné sa fille qu’elle a prénommée Rahantavololona Joséphine, pour adoption immédiatement après l'accouchement. Le nouveau-né a été confié à l'organisation « Familles sans frontières ». Elle a été, par la suite placée dans l'ancien orphelinat Akany Sambatra à Ambohitrarahaba jusqu'à la décision du Tribunal avant d’être adoptée. Entre-temps, les parents adoptifs de la jeune Joséphine ont essayé de trouver sa mère biologique à travers  son ancienne patronne. Toutefois, ils ont affirmé  que Telovavy a  essayé de gagner sa vie en tant que vendeuse de fruits sur les marchés. Elle  l’a vue pour la dernière fois sur un marché en 1996, il y a plus de 20 ans.  En outre, la visite au bureau de l’Etat civil de la ville de Toamasina, où l’original du certificat de naissance de Joséphine Telovavy  est stocké, n’a également donné aucun résultat. Il n’existe aucune information additionnelle sur  cette personne. Celles qui sont tangibles se portent sur les deux témoins de la publication de l'adoption datant d’octobre 1994 par Mamy Razafindrakoto Nestor et Randrianarivelo Bruno.

 Recueillis par K.R.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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