Société

Le petit ami et non moins principal suspect du meurtre survenu le mercredi 3 avril de la jeune Nathalie Julia Randrianjanahary, Nathy (21ans) pour les intimes, à Ambohimanga Rova, était déféré au Parquet d'Anosy, hier. A l'issue de son audition vers 18h, le prévenu a rejoint le chemin de la maison de force de Tsiafahy pour une détention provisoire préludant à sa prochaine comparution devant la Justice. Rappelons que la victime était tuée par strangulation avec le collier qu'elle portait le jour de sa mort.
Une nouvelle mission pour la première dame de Madagascar. Le Fonds des Nations unies pour la Population (UNFPA) vient de choisir Mialy Rajoelina comme ambassadrice dans la lutte contre la violence basée sur le genre (VBG) et contre le mariage précoce. « Vous êtes une source d'inspiration, un modèle pour des millions de Malagasy. Votre parcours, votre sens du devoir et du partage ainsi que votre détermination de servir votre prochain est une source de motivation et un leitmotiv d'action pour beaucoup d'entre nous. Votre message, votre cri, votre engagement en faveur de la promotion de la femme et de…
Un suspect, qui a disparu avec une somme de 100 millions d’ariary le 9 avril dernier à Mahitsy, reste toujours introuvable. La voiture qu’il a utilisée ce jour- là, une Citroën Jumper, est par contre retrouvée abandonnée rès du pont à Ambohimangakely. Ce suspect n’est autre que le compagnon de l’employée de la banque Baobab Mahitsy. Cette dernière est actuellement placée en garde à vue à la Gendarmerie.
Une cérémonie historique s’est déroulée à Manjakamiadana. Il s’agissait en effet de la cérémonie de lancement officiel de la reprise des travaux de réhabilitation du Rova qui a vu la présence notamment du Président de la République Andry Rajoelina, de la ministre de la Communication et de la Culture Lalatiana Andriantongarivo Rakotondrazafy ainsi que d’autres personnalités publiques, membres du Gouvernement ou non sans oublier les Olobe, Tangalamena, président des Taranak’Andriana, Ampanjaka et bien d’autres acteurs, conservateurs de la culture malagasy.
Un taux de chômage élevé, notamment pour les jeunes et les femmes. Le travail décent reste encore une utopie pour la plupart des travailleurs malagasy. D’ailleurs, bon nombre d’entre eux ne connaissent pas leurs droits, ce qui facilite l’exploitation abusive par certains employeurs. « Les employés des entreprises clandestines ou informelles ne sont pas déclarés. Ils ne jouissent d’aucune sécurité sanitaire et sociale », résume Lalao Rasoamananoro, Secrétaire générale du syndicat « FISEMARE ». A cela s’ajoute le salaire « misérable » proposé aux employés, ne convenant ni à leurs compétences ni aux horaires du travail.
La situation dans la Capitale est plus ou moins compliquée, et ce, depuis plusieurs années. Incompétence des agents de circulations ou bien tout simplement incivisme des usagers de la route ? La question se pose toujours et pourtant nous sommes déjà en 2019, où contrairement à la technologie, la façon de penser et d’agir des gens n’a pas évolué. En effet, c’est la gabegie totale à Antananarivo. Les automobilistes et les chauffeurs de véhicule de transport public font ce que bon leur semble malgré la présence des agents de la circulation, à savoir les polices de la route, les policiers…
A Antananarivo comme dans les autres Régions, les scooters envahissent les rues. Ils sont partout et il faut dire que toutes les classes sociales peuvent actuellement s’en procurer, étant donné que les produits, que ce soient d’occasion ou neufs, sont de plus en plus nombreux, exactement comme les réparateurs et garages qui offrent des services de réparation sur place. Quoi qu’il en soit, il ne faut pas nier que les motos, scooters ou autres catégories de véhicules sont parmi les causes des embouteillages monstres dans la Capitale. Puisque leur taille n’est pas si grande et que les motos peuvent circuler…

Fil infos

  • Actu-brèves
  • Réhabilitation de la RN7 - Le Président annonce des travaux imminents
  • Regards croisés sur la corruption à l'aéroport d’Ivato - Douanes et Sécurité publique s'expriment
  • ACTU-BREVES
  • Réinspection du Stade Barea - La non-homologation du stade confirmée
  • Actu-brèves
  • ACTU-BREVES
  • Matchs éliminatoires-Coupe du monde - Les Barea vont jouer au Maroc ou à l'île Maurice
  • Actu-brèves
  • Corruption - Romy Voos et Philippe Tabuteau condamnés par la Justice britannique

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Nettoyage général
    Enfin ! La JIRAMA fait sa toilette. Il a fallu qu’un Vazaha, Israélien, prenne les commandes de la Compagnie nationale d’Eau et d’Electricité pour que les choses commencent à bouger. Depuis que Ron Weiss tient en main les rênes de la direction générale de la Compagnie, on parle de nettoyage. Eclaboussée par des récurrents délits de détournements ou de malversations financières, la JIRAMA s’embourbe dans la mare des vicissitudes de l’homme. Dettes colossales, machines défaillantes, coupures inarrétables, etc. Les responsables actuels sont déterminés à remettre la pendule à l’heure.Trente-six responsables de la JIRAMA ont été convoqués ce lundi d’avant devant le Pôle anti-corruption (PAC) aux 67 Ha, dans le cadre d’une enquête sur des primes exorbitantes révélées en avril 2021. Une affaire qui avait fait l’effet d’un coup de tonnerre suite à une liste de hauts responsables de la Compagnie bénéficiaires de primes apparemment jugées scandaleuses qui avait fuité sur…

A bout portant

AutoDiff